Les délégués à la protection de l’enfance ont reçu 10.057 signalements en 2016 dont 64% concernent des cas de menaces domestiques, 19.4% concernent des cas de menaces dans des établissements étatiques et 14.9% concernent des cas de menace dans la rue.
C’est ce qu’a annoncé le délégué à la protection de l’enfance, Mehyar Hamadi, lors d’un point de presse tenu jeudi à Tunis et consacré à la présentation des résultats du rapport national des activités des bureaux des délégués à la protection de l’enfance en 2016.
Hamadi a ajouté que les cas de menaces domestiques sont dus essentiellement à l’incapacité des parents à prendre en charge leurs enfants (28.1%), à la négligence (25.4%) et à l’exposition des enfants à la délinquance (17.5%).
Selon Hamadi, les cas de menaces sont signalés dans la majorité des cas par la mère (3 272) ou par le père (2 212) ou par les établissements étatiques, ajoutant que 48% des menaces sont commises par les deux parents ou l’un des deux.
Les signalements concernent des enfants de toutes les tranches d’âge, dont essentiellement ceux âgés entre 13 et 15 ans (20.9% de l’ensemble des signalements).
Selon le même rapport, le plus grand nombre de signalements a été enregistré dans le gouvernorat de Tunis, suivi du gouvernorat de Sfax.
Les cas de défaillance des parents dans l’éducation de leurs enfants demeurent les cas les plus pris en charge (20.5% de l’ensemble des prises en charge), suivis des cas de négligence (17.3%).
Pour ce qui est des cas de violence exercée à l’égard de l’enfance, 4 590 cas ont été enregistrés, soit 56.9% de l’ensemble des prises en charge.
Les formes de violence les plus fréquentes demeurent la négligence et l’indifférence (37.1%), suivies par la violence psychologique (29.1%).
La violence en milieu familial, notamment celle exercée par les parents représente la forme de violence la plus répandue (56.8%) suivie de la violence en milieu éducatif (13.6%).
C’est ce qu’a annoncé le délégué à la protection de l’enfance, Mehyar Hamadi, lors d’un point de presse tenu jeudi à Tunis et consacré à la présentation des résultats du rapport national des activités des bureaux des délégués à la protection de l’enfance en 2016.
Hamadi a ajouté que les cas de menaces domestiques sont dus essentiellement à l’incapacité des parents à prendre en charge leurs enfants (28.1%), à la négligence (25.4%) et à l’exposition des enfants à la délinquance (17.5%).
Selon Hamadi, les cas de menaces sont signalés dans la majorité des cas par la mère (3 272) ou par le père (2 212) ou par les établissements étatiques, ajoutant que 48% des menaces sont commises par les deux parents ou l’un des deux.
Les signalements concernent des enfants de toutes les tranches d’âge, dont essentiellement ceux âgés entre 13 et 15 ans (20.9% de l’ensemble des signalements).
Selon le même rapport, le plus grand nombre de signalements a été enregistré dans le gouvernorat de Tunis, suivi du gouvernorat de Sfax.
Les cas de défaillance des parents dans l’éducation de leurs enfants demeurent les cas les plus pris en charge (20.5% de l’ensemble des prises en charge), suivis des cas de négligence (17.3%).
Pour ce qui est des cas de violence exercée à l’égard de l’enfance, 4 590 cas ont été enregistrés, soit 56.9% de l’ensemble des prises en charge.
Les formes de violence les plus fréquentes demeurent la négligence et l’indifférence (37.1%), suivies par la violence psychologique (29.1%).
La violence en milieu familial, notamment celle exercée par les parents représente la forme de violence la plus répandue (56.8%) suivie de la violence en milieu éducatif (13.6%).
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