Quelques 750 titres d’ouvrages d’auteurs tunisiens sont exposés à la 37ème édition du Salon du Livre qui se tient depuis le 24 et jusqu’au 27 mars à Paris.
Le responsable de la librairie ” El Moez ” à Tunis, Mohamed Bahri qui tient le stand tunisien au salon a déclaré à l’agence Tap ” que presque 2700 exemplaires de livres qui mettent en valeur la Tunisie, son histoire ainsi que les écrivains tunisiens sont exposés à cette occasion “. Le libraire indique que quelques exemplaires des dernières publications des romans tunisiens sont exposés au Salon.
Mohamed Bahri représente les éditeurs tunisiens, le syndicat des libraires et le ministère des affaires culturelles pour tenir le stand tunisien aménagé sur une vingtaine de mètres carrés. Situé à côté de l’imposant stand marocain -invité d’honneur de la 37ème édition du livre Paris-, collé à la Syrie et en face de la Roumanie, le stand de la Tunisie est confiné. ” Coût du mètre carré oblige “, selon Mohamed Bahri. D’ailleurs, ” c’est l’ambassade de France en Tunisie qui nous a accordé cet espace”, a-t-il mentionné.
Au programme, 17 dédicaces de livres écrits par des auteurs tunisiens ou sur la Tunisie, sont prévues durant le salon.
La journaliste tunisienne Sonia Mabrouk, était présente le samedi après-midi, pour dédicacer son premier livre ” Le monde ne tourne pas rond, ma petite-fille “. Elle a déclaré à l’agence Tap qu’une grande partie du livre est consacrée à la Tunisie. Optimiste, Sonia Mabrouk transmet un message d’espoir et également un message de vérité sur la Tunisie et la France, deux pays avec lesquels elle a une grande histoire. C’est à travers un dialogue avec sa grand-mère que Sonia Mabrouk évoque les problèmes auxquels sont confrontés les deux pays. ” Je voulais avoir un dialogue franc et sincère sur tous les problèmes “, souligne la journaliste.
L’universitaire Slah Weslati qui présente son livre ” Tunisie entre démocratie, guerre civile et terrorisme. Arrêtez le massacre ” estime, de son côté, que ” plusieurs visiteurs s’intéressent à la Tunisie et au processus démocratique “. Il considère que c’est un bon signe pour que les éditeurs et les écrivains tunisiens exposent leurs productions, d’autant plus qu’il y a une petite animation. ” J’espère que le stand prenne plus de l’ampleur dans les prochaines éditions “, note Slah Weslati.
L’auteur d’ ” une femme sans écriture “, Saber Mansouri a exprimé sa satisfaction de sa participation au stand tunisien.
Hédi Chenchabi, un tunisien qui vit en France estime que le stand aménagé ne met pas en valeur les écrivains ni même le livre tunisien. ” Il est bien que la Tunisie soit présente au salon, mais nous constatons qu’il n’y a pas de réelle politique de valorisation du livre tunisien et des auteurs tunisiens “, critique Chenchabi.
3000 auteurs dédicacent leurs livres en cette 37ème édition du livre Paris. Plus de 150 000 visiteurs dont 40 000 jeunes et 20 000 scolaires fréquentent le salon chaque année.
Le responsable de la librairie ” El Moez ” à Tunis, Mohamed Bahri qui tient le stand tunisien au salon a déclaré à l’agence Tap ” que presque 2700 exemplaires de livres qui mettent en valeur la Tunisie, son histoire ainsi que les écrivains tunisiens sont exposés à cette occasion “. Le libraire indique que quelques exemplaires des dernières publications des romans tunisiens sont exposés au Salon.
Mohamed Bahri représente les éditeurs tunisiens, le syndicat des libraires et le ministère des affaires culturelles pour tenir le stand tunisien aménagé sur une vingtaine de mètres carrés. Situé à côté de l’imposant stand marocain -invité d’honneur de la 37ème édition du livre Paris-, collé à la Syrie et en face de la Roumanie, le stand de la Tunisie est confiné. ” Coût du mètre carré oblige “, selon Mohamed Bahri. D’ailleurs, ” c’est l’ambassade de France en Tunisie qui nous a accordé cet espace”, a-t-il mentionné.
Au programme, 17 dédicaces de livres écrits par des auteurs tunisiens ou sur la Tunisie, sont prévues durant le salon.
La journaliste tunisienne Sonia Mabrouk, était présente le samedi après-midi, pour dédicacer son premier livre ” Le monde ne tourne pas rond, ma petite-fille “. Elle a déclaré à l’agence Tap qu’une grande partie du livre est consacrée à la Tunisie. Optimiste, Sonia Mabrouk transmet un message d’espoir et également un message de vérité sur la Tunisie et la France, deux pays avec lesquels elle a une grande histoire. C’est à travers un dialogue avec sa grand-mère que Sonia Mabrouk évoque les problèmes auxquels sont confrontés les deux pays. ” Je voulais avoir un dialogue franc et sincère sur tous les problèmes “, souligne la journaliste.
L’universitaire Slah Weslati qui présente son livre ” Tunisie entre démocratie, guerre civile et terrorisme. Arrêtez le massacre ” estime, de son côté, que ” plusieurs visiteurs s’intéressent à la Tunisie et au processus démocratique “. Il considère que c’est un bon signe pour que les éditeurs et les écrivains tunisiens exposent leurs productions, d’autant plus qu’il y a une petite animation. ” J’espère que le stand prenne plus de l’ampleur dans les prochaines éditions “, note Slah Weslati.
L’auteur d’ ” une femme sans écriture “, Saber Mansouri a exprimé sa satisfaction de sa participation au stand tunisien.
Hédi Chenchabi, un tunisien qui vit en France estime que le stand aménagé ne met pas en valeur les écrivains ni même le livre tunisien. ” Il est bien que la Tunisie soit présente au salon, mais nous constatons qu’il n’y a pas de réelle politique de valorisation du livre tunisien et des auteurs tunisiens “, critique Chenchabi.
3000 auteurs dédicacent leurs livres en cette 37ème édition du livre Paris. Plus de 150 000 visiteurs dont 40 000 jeunes et 20 000 scolaires fréquentent le salon chaque année.
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