Le professeur Riadh Gouider, chef de service de Neurologie et du centre d’Alzheimer à l’Hopital Razi, a souligné à la clôture des travaux d’une rencontre sur la gériatrie et la médecine de famille que la Tunisie compte plus de 50 mille malades atteints d’alzheimer.
Il a précisé lors d’une rencontre, organisée, dimanche à Djerba à l’initiative du syndicat des médecins du secteur privé (section de médenine), que suite à l’augmentation du nombre de personnes atteintes par cette maladie, un plan national doit être mis en œuvre pour une meilleure prise en charge des malades.
Selon Gouider, Alzheimer est une maladie neurodégitative qui entraine une perte progressive de la mémoire. Des médicaments sont administrés aux malades pour ralentir le développement de la maladie, mais aucun traitement ne permet à l’heure actuelle de guérir la maladie, a-t-il souligné.
” La maladie d’Alzheimer est une maladie couteuse tant pour les soins nécessités que pour la prise en charge par la famille et les proches “a-t-il signalé.
Lors de cette rencontre les participants ont passé en revue les nouveautés en matière de recherche scientifique et de prise en charge des patients et échangé les expériences autour des spécialités de gériatrie et de médecine de famille.
Abdelhakim Korchid, président du comité d’organisation de cette rencontre scientifique a affirmé que le choix du thème de la gériatrie a été dicté par le changement de la structure démographique de la société tunisienne et l’augmentation du nombre des personnes agées. ” La gériatrie et la médecine de famille doivent être reconnues en tant que spécialités à part entière par le ministère de la santé”, a-t-il dit.
” La gériatrie est une nouvelle spécialité qui répond aux besoins d’un grand nombre de personnes dans le monde notamment pour les personnees agées de plus de 65 ans, soit 10 pc de l’ensemble de la population mondiale ” a indiqué Sami Kammoun, professeur de gériatrie à la faculté de médecine de Sfax.
” Selon les statistiques, le nombre des personnes agées en tunisie a atteint plus de 1 million en 2014 et sera d’environ 2 millions en 2030 ” , a-t-il ajouté.
Dans ce contexte, il a mentionné que l’encadrement social des personnes agées et leur prise en charge par leur proche ainsi que le cout excessif des médicaments et l’encadrement social et familial sont autant de défis à relever en Tunisie et nécessitent une nouvelle stratégie d’organisation aux plans social et sanitaire.
Il a précisé lors d’une rencontre, organisée, dimanche à Djerba à l’initiative du syndicat des médecins du secteur privé (section de médenine), que suite à l’augmentation du nombre de personnes atteintes par cette maladie, un plan national doit être mis en œuvre pour une meilleure prise en charge des malades.
Selon Gouider, Alzheimer est une maladie neurodégitative qui entraine une perte progressive de la mémoire. Des médicaments sont administrés aux malades pour ralentir le développement de la maladie, mais aucun traitement ne permet à l’heure actuelle de guérir la maladie, a-t-il souligné.
” La maladie d’Alzheimer est une maladie couteuse tant pour les soins nécessités que pour la prise en charge par la famille et les proches “a-t-il signalé.
LIRE AUSSI: Causes, traitement, moyens de s'en protéger: sept choses que l'on sait sur la maladie d'Alzheimer
Lors de cette rencontre les participants ont passé en revue les nouveautés en matière de recherche scientifique et de prise en charge des patients et échangé les expériences autour des spécialités de gériatrie et de médecine de famille.
Abdelhakim Korchid, président du comité d’organisation de cette rencontre scientifique a affirmé que le choix du thème de la gériatrie a été dicté par le changement de la structure démographique de la société tunisienne et l’augmentation du nombre des personnes agées. ” La gériatrie et la médecine de famille doivent être reconnues en tant que spécialités à part entière par le ministère de la santé”, a-t-il dit.
” La gériatrie est une nouvelle spécialité qui répond aux besoins d’un grand nombre de personnes dans le monde notamment pour les personnees agées de plus de 65 ans, soit 10 pc de l’ensemble de la population mondiale ” a indiqué Sami Kammoun, professeur de gériatrie à la faculté de médecine de Sfax.
” Selon les statistiques, le nombre des personnes agées en tunisie a atteint plus de 1 million en 2014 et sera d’environ 2 millions en 2030 ” , a-t-il ajouté.
Dans ce contexte, il a mentionné que l’encadrement social des personnes agées et leur prise en charge par leur proche ainsi que le cout excessif des médicaments et l’encadrement social et familial sont autant de défis à relever en Tunisie et nécessitent une nouvelle stratégie d’organisation aux plans social et sanitaire.
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