Les composantes du Front du salut –Mouvement projet pour la Tunisie (Al Machroû), l’Union patriotique libre (UPL) et le comité de sauvetage au sein du mouvement de Nidaa Tounes (dirigé par Ridha Belhadj) – se sont réunies jeudi 30 mars et ont décidé de changer le nom du nouveau Front qu’ils comptent former de Front du salut au Front du salut et du progrès. A l’issue de cette même réunion, il a été annoncé qu’un grand meeting sera tenu dimanche 2 avril au Palais des congrès à Tunis afin d’officialiser ce nouveau projet.
Dans un post publié sur sa page officielle Facebook, le président de l’UPL, Slim Riahi, a appelé tous ceux qui ont soutenu et encouragé l’action de réunir la famille progressiste centriste à être présents pour la cérémonie de l’officialisation du Front de ce nouveau projet unifié dont l’axe principal sera la Tunisie et les Tunisiens. Slim Riahi a indiqué qu’ils ont déjà pris part à des combats les opposant, depuis la révolution jusqu’à présent, aux opportunistes. Des combats remportés avec succès ce qui a amené le peuple à les choisir en masse lors des élections de 2014, d'après lui.
Selon Slim Riahi, l’heure est aujourd’hui dédiée à une nouvelle bataille politique qui opposera celui qui a des programmes et celui qui n’en a pas, celui qui respecte l’Etat et ses institutions et celui qui ne cesse de les froisser et de les ignorer. Le président de l’UPL a accompagné son texte par les résultats d’un sondage commandé par son parti politique et le donnant lui et ses nouveaux alliés comme gagnants aux prochaines élections avec un taux de 16,9% d’intention de vote. Un sondage réalisé par le bureau Elka Consulting.
Bien avant ces annonces faites en grandes pompes, une information avait circulé la semaine dernière attestant d’une grande discorde qui aurait eu lieu lors de la réunion du 30 mars. Selon des sources proches des partis concernés, le changement du nom du nouveau Front n’a pas été facile à imposer et les représentants d’Al Machroû auraient même dû quitter la table de négociations afin de mettre la pression.
Dans un post publié sur sa page officielle Facebook, le président de l’UPL, Slim Riahi, a appelé tous ceux qui ont soutenu et encouragé l’action de réunir la famille progressiste centriste à être présents pour la cérémonie de l’officialisation du Front de ce nouveau projet unifié dont l’axe principal sera la Tunisie et les Tunisiens. Slim Riahi a indiqué qu’ils ont déjà pris part à des combats les opposant, depuis la révolution jusqu’à présent, aux opportunistes. Des combats remportés avec succès ce qui a amené le peuple à les choisir en masse lors des élections de 2014, d'après lui.
Selon Slim Riahi, l’heure est aujourd’hui dédiée à une nouvelle bataille politique qui opposera celui qui a des programmes et celui qui n’en a pas, celui qui respecte l’Etat et ses institutions et celui qui ne cesse de les froisser et de les ignorer. Le président de l’UPL a accompagné son texte par les résultats d’un sondage commandé par son parti politique et le donnant lui et ses nouveaux alliés comme gagnants aux prochaines élections avec un taux de 16,9% d’intention de vote. Un sondage réalisé par le bureau Elka Consulting.
Bien avant ces annonces faites en grandes pompes, une information avait circulé la semaine dernière attestant d’une grande discorde qui aurait eu lieu lors de la réunion du 30 mars. Selon des sources proches des partis concernés, le changement du nom du nouveau Front n’a pas été facile à imposer et les représentants d’Al Machroû auraient même dû quitter la table de négociations afin de mettre la pression.
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