Le secrétaire général du parti Afek Tounes, Yassine Brahim, a estimé que la Tunisie “ne peut progresser qu’en instaurant un Etat juste et courageux, capable de combattre la corruption sans hésitation”.
Il a ajouté que le non parachèvement des instances constitutionnelles, telles que le Conseil supérieur de la magistrature et la Cour constitutionnelle, est de nature à freiner le processus de transition démocratique.
Lors de l’ouverture du 2e congrès du parti, vendredi, au Palais des Congrès, le SG a indiqué que le compromis politique en Tunisie devrait être soumis à l’évaluation et à une lecture critique, l’objectif étant d’atteindre des résultats probants “mais au jour d’aujourd’hui le compromis n’a pas atteint les objectifs escomptés”.
Les politiques actuelles de développement ne peuvent impulser l’économie nationale face à la prolifération de la corruption dans toutes les structures de l’Etat, a-t-il soutenu, précisant que la corruption coûte à l’Etat 4% du PIB et met la souveraineté nationale sous l’emprise de l’endettement.
De son côté, Faouzi Abderrahman, membre du bureau politique de Afek Toune, a souligné la nécessité d’élaborer une stratégie claire pour le financement des partis politiques, estimant que la situation actuelle pourrait rendre les partis en proie à des sources de financement suspectes.
Afek Tounes est l’un des rares partis qui ont ouvert leurs portes aux jeunes, a-t-il fait remarquer, expliquant que l’orientation libérale du parti s’accompagne du souci de préserver les secteurs stratégiques et le rôle social de l’Etat.
Le deuxième congrès du parti Afek Tounes s’est déroulé en présence du représentant spécial du président de la République, Lazhar Karoui Chebbi, le président de l’Assemblée des représentants du peuple, Mohamed Ennaceur, le président du mouvement Ennahdha, Rached Ghannouchi, le président du parti Al-Bédil (l’Alternative), Mehdi Jomaâ, ainsi que nombre de députés et de membres du gouvernement.
Les travaux de ce congrès se poursuivront jusqu’à dimanche prochain, à Sousse. Yassine Brahim et Faouzi Ben Abderrahman sont candidats à la présidence du parti.
Il a ajouté que le non parachèvement des instances constitutionnelles, telles que le Conseil supérieur de la magistrature et la Cour constitutionnelle, est de nature à freiner le processus de transition démocratique.
Lors de l’ouverture du 2e congrès du parti, vendredi, au Palais des Congrès, le SG a indiqué que le compromis politique en Tunisie devrait être soumis à l’évaluation et à une lecture critique, l’objectif étant d’atteindre des résultats probants “mais au jour d’aujourd’hui le compromis n’a pas atteint les objectifs escomptés”.
Les politiques actuelles de développement ne peuvent impulser l’économie nationale face à la prolifération de la corruption dans toutes les structures de l’Etat, a-t-il soutenu, précisant que la corruption coûte à l’Etat 4% du PIB et met la souveraineté nationale sous l’emprise de l’endettement.
De son côté, Faouzi Abderrahman, membre du bureau politique de Afek Toune, a souligné la nécessité d’élaborer une stratégie claire pour le financement des partis politiques, estimant que la situation actuelle pourrait rendre les partis en proie à des sources de financement suspectes.
Afek Tounes est l’un des rares partis qui ont ouvert leurs portes aux jeunes, a-t-il fait remarquer, expliquant que l’orientation libérale du parti s’accompagne du souci de préserver les secteurs stratégiques et le rôle social de l’Etat.
Le deuxième congrès du parti Afek Tounes s’est déroulé en présence du représentant spécial du président de la République, Lazhar Karoui Chebbi, le président de l’Assemblée des représentants du peuple, Mohamed Ennaceur, le président du mouvement Ennahdha, Rached Ghannouchi, le président du parti Al-Bédil (l’Alternative), Mehdi Jomaâ, ainsi que nombre de députés et de membres du gouvernement.
Les travaux de ce congrès se poursuivront jusqu’à dimanche prochain, à Sousse. Yassine Brahim et Faouzi Ben Abderrahman sont candidats à la présidence du parti.
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