Le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a évoqué jeudi à Tunis la coopération sécuritaire avec la jeune démocratie, dont il a salué "la force", à l'issue d'un entretien avec le chef de l'Etat Béji Caïd Essebsi.
Il s'agissait, selon les propres dires de M. Le Drian, de son dernier déplacement officiel à l'étranger avant l'élection présidentielle française du 23 avril.
Dans une déclaration publiée par la présidence tunisienne, le ministre français a relevé que les "intérêts communs de sécurité" étaient au centre de ce déplacement, avant de saluer "la force de la démocratie tunisienne", "confrontée à la fois aux risques de sécurité et à la nécessité de reprise de la croissance".
La Tunisie "montre que c'est possible à condition que la communauté internationale accompagne ces efforts et que les enjeux de sécurité soient pris au niveau de sérieux et d'urgence" requis, a-t-il jugé.
De son côté, selon un communiqué, M. Caïd Essebsi a exprimé la volonté de son pays "d'intensifier la coopération (...) dans le domaine de la défense", relevant que les deux pays faisaient "face à des défis communs".
D'après M. Le Drian, la Libye, pays voisin en proie au chaos, a également été évoquée. "Chacun sait qu'il n'y aura pas de réponse militaire à la situation en Libye mais qu'il n'y aura qu'une réponse politique", a avancé le ministre français.
Les deux responsables ont appelé à "intensifier (ces) efforts".
Durant ce déplacement, dont la presse a été tenue à l'écart, Jean-Yves Le Drian a également rencontré le Premier ministre Youssef Chahed, son homologue Farhat Horchani et des militaires français.
Cette visite intervient moins d'une semaine après celle du Premier ministre Bernard Cazeneuve, qui a réaffirmé la "confiance" de Paris dans la jeune démocratie.
Ensanglantées en 2015 et 2016 par une série d'attentats, la Tunisie et la France sont toutes deux sous état d'urgence depuis plus d'une année.
Elles ont sensiblement renforcé leur coopération sécuritaire au cours du quinquennat de François Hollande, en particulier en matière de formation et de renseignement.
Fin 2015, les deux ministres de la Défense avaient notamment signé une feuille de route dotée d'une enveloppe financière de 20 millions d'euros sur deux ans.
Il s'agissait, selon les propres dires de M. Le Drian, de son dernier déplacement officiel à l'étranger avant l'élection présidentielle française du 23 avril.
Dans une déclaration publiée par la présidence tunisienne, le ministre français a relevé que les "intérêts communs de sécurité" étaient au centre de ce déplacement, avant de saluer "la force de la démocratie tunisienne", "confrontée à la fois aux risques de sécurité et à la nécessité de reprise de la croissance".
La Tunisie "montre que c'est possible à condition que la communauté internationale accompagne ces efforts et que les enjeux de sécurité soient pris au niveau de sérieux et d'urgence" requis, a-t-il jugé.
De son côté, selon un communiqué, M. Caïd Essebsi a exprimé la volonté de son pays "d'intensifier la coopération (...) dans le domaine de la défense", relevant que les deux pays faisaient "face à des défis communs".
D'après M. Le Drian, la Libye, pays voisin en proie au chaos, a également été évoquée. "Chacun sait qu'il n'y aura pas de réponse militaire à la situation en Libye mais qu'il n'y aura qu'une réponse politique", a avancé le ministre français.
Les deux responsables ont appelé à "intensifier (ces) efforts".
Durant ce déplacement, dont la presse a été tenue à l'écart, Jean-Yves Le Drian a également rencontré le Premier ministre Youssef Chahed, son homologue Farhat Horchani et des militaires français.
Cette visite intervient moins d'une semaine après celle du Premier ministre Bernard Cazeneuve, qui a réaffirmé la "confiance" de Paris dans la jeune démocratie.
Ensanglantées en 2015 et 2016 par une série d'attentats, la Tunisie et la France sont toutes deux sous état d'urgence depuis plus d'une année.
Elles ont sensiblement renforcé leur coopération sécuritaire au cours du quinquennat de François Hollande, en particulier en matière de formation et de renseignement.
Fin 2015, les deux ministres de la Défense avaient notamment signé une feuille de route dotée d'une enveloppe financière de 20 millions d'euros sur deux ans.
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