Comptabilisant plusieurs millions de morts depuis 1994, la République Démocratique du Congo (RDC) connaît actuellement un des génocides les plus meurtriers de l’ère contemporaine, un drame humanitaire dont on parle pourtant très peu.
La région, située au cœur de l’Afrique, est extrêmement riche en ressources naturelles et est paradoxalement une des régions les moins favorisées de la planète.
Dernièrement, les violences opposant les forces de l’ordre aux miliciens Kamwina Nsapu, qui ont déjà causé la mort de plus de 400 personnes ont révélé d’autres trouvailles macabres.
La récente découverte de 13 nouvelles fosses communes dans le centre du Congo Kinshasa – rapportée par des enquêteurs de l’ONU – s’ajoutant aux 10 autres trouvées le 22 mars dernier dans la région du Kasaï, vient alourdir le bilan.
José Maria Aranaz, directeur du bureau conjoint de l’ONU aux droits de l’homme évoque la présence d’autres fosses à proximité. "Nous n’avons pas encore enquêté dans la province de Lomami, mais nous continuons le travail puisque l’existence d’autres fosses communes est signalée" annonce t-il dans des propos rapportés par l’AFP il y a quelques jours. Avant d’ajouter "l’estimation du nombre des morts dans ces fosses communes est du ressort des autorités congolaises".
Rappelons aussi que le 12 mars dernier, 2 enquêteurs de l’ONU avaient été retrouvés morts avec 4 de leurs accompagnateurs dans le Kassaï.
La région, située au cœur de l’Afrique, est extrêmement riche en ressources naturelles et est paradoxalement une des régions les moins favorisées de la planète.
Dernièrement, les violences opposant les forces de l’ordre aux miliciens Kamwina Nsapu, qui ont déjà causé la mort de plus de 400 personnes ont révélé d’autres trouvailles macabres.
La récente découverte de 13 nouvelles fosses communes dans le centre du Congo Kinshasa – rapportée par des enquêteurs de l’ONU – s’ajoutant aux 10 autres trouvées le 22 mars dernier dans la région du Kasaï, vient alourdir le bilan.
José Maria Aranaz, directeur du bureau conjoint de l’ONU aux droits de l’homme évoque la présence d’autres fosses à proximité. "Nous n’avons pas encore enquêté dans la province de Lomami, mais nous continuons le travail puisque l’existence d’autres fosses communes est signalée" annonce t-il dans des propos rapportés par l’AFP il y a quelques jours. Avant d’ajouter "l’estimation du nombre des morts dans ces fosses communes est du ressort des autorités congolaises".
Rappelons aussi que le 12 mars dernier, 2 enquêteurs de l’ONU avaient été retrouvés morts avec 4 de leurs accompagnateurs dans le Kassaï.
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