Au lendemain de l’interview, diffusée hier, du chef du gouvernement, le mouvement d’Ennahdha a publié un communiqué où il est revenu sur l’actualité nationale.
Signé par le chef du mouvement, Rached Ghannouchi, le communiqué a attiré l’attention sur les menaces qui pèsent sur le processus politique du pays émanant de la rencontre de Paris – une rencontre survenue en 2013 entre Rached Ghannouchi et Béji Caïd Essebsi, qui était, à l’époque, président du mouvement de Nidaa Tounes. Rappelant le rôle majeur qu’a eu la rencontre en question – elle aurait fait éviter le chaos et la guerre civile au pays selon le texte – Ennahdha a assuré qu’il existe des parties en Tunisie qui tentent de remettre en cause tout le processus. Ces parties seraient diverses et différentes mais auraient, en même temps, le même agenda et les mêmes objectifs. Renouvelant son soutien aux protestations sociales légitimes qui secouent plusieurs villes du pays, Ennahdha a appelé tous les protestataires à éviter toute violence, toute provocation à l’encontre des agents de l’ordre et tout saccage des biens publics afin que tout se déroule comme souhaité.
Enchaînant sur cette idée, le mouvement rappelle que le gouvernement d’union nationale est en train de fournir les efforts nécessaires afin de répondre positivement aux revendications sociales tout en avouant que ce même gouvernement rencontre plusieurs difficultés qui le bloquent dans son travail. Parmi ces difficultés, Ennahdha a insisté sur la désunion politique, les surenchères et les violations de la loi. Dans le même ordre d’idées, Ennahdha a appelé tous les acteurs politiques et sociaux à soutenir la stabilité politique afin de sauvegarder la démocratie, la sécurité et la relance économique.
Un communiqué un peu différent de celui qui a été publié au début du mois lorsque le bureau exécutif du mouvement avait clairement annoncé que l’Etat a échoué dans sa mission de trouver des réponses aux revendications légitimes des habitants des régions intérieures du pays qui continuent de vivre sans aucun signe encourageant. Daté du 6 avril courant, le communiqué a plutôt été sévère et a directement appelé le gouvernement à être plus à l’écoute des demandes et des préoccupations populaires.
Le communiqué précédent d’Ennahdha avait concentré toute son énergie sur les parties qui tenteraient de faire revenir le pays à l’ambiance d’avant les élections de 2014 en tentant de diaboliser le mouvement et le dénigrer publiquement.
Signé par le chef du mouvement, Rached Ghannouchi, le communiqué a attiré l’attention sur les menaces qui pèsent sur le processus politique du pays émanant de la rencontre de Paris – une rencontre survenue en 2013 entre Rached Ghannouchi et Béji Caïd Essebsi, qui était, à l’époque, président du mouvement de Nidaa Tounes. Rappelant le rôle majeur qu’a eu la rencontre en question – elle aurait fait éviter le chaos et la guerre civile au pays selon le texte – Ennahdha a assuré qu’il existe des parties en Tunisie qui tentent de remettre en cause tout le processus. Ces parties seraient diverses et différentes mais auraient, en même temps, le même agenda et les mêmes objectifs. Renouvelant son soutien aux protestations sociales légitimes qui secouent plusieurs villes du pays, Ennahdha a appelé tous les protestataires à éviter toute violence, toute provocation à l’encontre des agents de l’ordre et tout saccage des biens publics afin que tout se déroule comme souhaité.
Enchaînant sur cette idée, le mouvement rappelle que le gouvernement d’union nationale est en train de fournir les efforts nécessaires afin de répondre positivement aux revendications sociales tout en avouant que ce même gouvernement rencontre plusieurs difficultés qui le bloquent dans son travail. Parmi ces difficultés, Ennahdha a insisté sur la désunion politique, les surenchères et les violations de la loi. Dans le même ordre d’idées, Ennahdha a appelé tous les acteurs politiques et sociaux à soutenir la stabilité politique afin de sauvegarder la démocratie, la sécurité et la relance économique.
Un communiqué un peu différent de celui qui a été publié au début du mois lorsque le bureau exécutif du mouvement avait clairement annoncé que l’Etat a échoué dans sa mission de trouver des réponses aux revendications légitimes des habitants des régions intérieures du pays qui continuent de vivre sans aucun signe encourageant. Daté du 6 avril courant, le communiqué a plutôt été sévère et a directement appelé le gouvernement à être plus à l’écoute des demandes et des préoccupations populaires.
Le communiqué précédent d’Ennahdha avait concentré toute son énergie sur les parties qui tenteraient de faire revenir le pays à l’ambiance d’avant les élections de 2014 en tentant de diaboliser le mouvement et le dénigrer publiquement.
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