Avec Zoufri, Rochdi Belgasmi, a mis le feu au Palais de Tokyo dans le cadre de sa participation au festival d'art contemporain Do Disturb, tenu les 22, 23 et 24 avril 2017, à Paris. Sa danse est une totale immersion dans un monde où se mêlent la beauté des gestes et des sensations avec les rythmes du Rboukh pour rendre hommage à une danse folklorique d'origine populaire et ouvrière, peu connue.
Née à la fin du 19ème siècle à Tunis, le "Rboukh", cette danse populaire a été créée dans le milieu ouvrier notamment dans les cafés chantants de la capitale en s'inspirant de gestes du travail quotidien et de connotations sexuelles, a expliqué Rochdi dans une interview accordée, dimanche, à l'émission Maghreb-Orient-Express du TV5 Monde. "Zoufri, en effet, retrace l'évolution de cette danse à travers le temps et met en relief les particularités de ce patrimoine rejeté et mis à l'écart.
Sa performance a été, par ailleurs, vivement saluée par les spectateurs. Le mur Facebook du jeune artiste a été inondé de réactions satisfaisantes et de commentaires encourageants.
Née à la fin du 19ème siècle à Tunis, le "Rboukh", cette danse populaire a été créée dans le milieu ouvrier notamment dans les cafés chantants de la capitale en s'inspirant de gestes du travail quotidien et de connotations sexuelles, a expliqué Rochdi dans une interview accordée, dimanche, à l'émission Maghreb-Orient-Express du TV5 Monde. "Zoufri, en effet, retrace l'évolution de cette danse à travers le temps et met en relief les particularités de ce patrimoine rejeté et mis à l'écart.
Sa performance a été, par ailleurs, vivement saluée par les spectateurs. Le mur Facebook du jeune artiste a été inondé de réactions satisfaisantes et de commentaires encourageants.
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