L’Union Générale Tunisienne du Travail (UGTT) ne renoncera pas à l’accord prévoyant une majoration salariale à hauteur de 6% dans le secteur privé, a affirmé samedi son Secrétaire Général Adjoint Mohamed Ali Boughdiri.
Le rééchelonnement de cette majoration salariale avec effet rétroactif pourrait être révisé pour ce qui est du secteur du textile en raison de la crise qu’il traverse, a-t-il ajouté lors d’une réunion générale syndicale tenue au siège de l’UGTT à Monastir à l’occasion de la célébration de la fête du travail.
“C’est au syndicat de base de mener les négociations et non pas au bureau exécutif”, a-t-il déclaré à la TAP, précisant qu’il sera question d’inciter les syndicalistes à trouver des solutions avec les chefs d’entreprises pour surmonter les tensions et faire face à la crise à laquelle font face ces établissements.
Il a par ailleurs fait savoir que la centrale syndicale vient d’achever la révision des avenants et les nouvelles grilles de salaires qui ont été remis au ministère des affaires sociales avant d’être présentés à l’organisation patronale.
“Ils seront signés dans les plus brefs délais par les deux parties et publiés par la suite dans le Journal Officiel de la République Tunisienne (JORT)”, a-t-il ajouté.
D’autre part, Boughdiri a mis en garde contre toute tentative de saper le travail syndical dans le secteur privé, appelant à la nécessité de réviser les législations et le code du travail dont 300 sur 425 articles vont à l’encontre des intérêts des travailleurs.
“La centrale syndicale recensera dans une publication toutes les violations des droits des travailleurs. Cette publication sera remise à la présidence du gouvernement, l’Assemblée des Représentants du Peuple (ARP), le patronat et les organisations internationales”, a-t-il fait savoir.
Le rééchelonnement de cette majoration salariale avec effet rétroactif pourrait être révisé pour ce qui est du secteur du textile en raison de la crise qu’il traverse, a-t-il ajouté lors d’une réunion générale syndicale tenue au siège de l’UGTT à Monastir à l’occasion de la célébration de la fête du travail.
“C’est au syndicat de base de mener les négociations et non pas au bureau exécutif”, a-t-il déclaré à la TAP, précisant qu’il sera question d’inciter les syndicalistes à trouver des solutions avec les chefs d’entreprises pour surmonter les tensions et faire face à la crise à laquelle font face ces établissements.
Il a par ailleurs fait savoir que la centrale syndicale vient d’achever la révision des avenants et les nouvelles grilles de salaires qui ont été remis au ministère des affaires sociales avant d’être présentés à l’organisation patronale.
“Ils seront signés dans les plus brefs délais par les deux parties et publiés par la suite dans le Journal Officiel de la République Tunisienne (JORT)”, a-t-il ajouté.
D’autre part, Boughdiri a mis en garde contre toute tentative de saper le travail syndical dans le secteur privé, appelant à la nécessité de réviser les législations et le code du travail dont 300 sur 425 articles vont à l’encontre des intérêts des travailleurs.
“La centrale syndicale recensera dans une publication toutes les violations des droits des travailleurs. Cette publication sera remise à la présidence du gouvernement, l’Assemblée des Représentants du Peuple (ARP), le patronat et les organisations internationales”, a-t-il fait savoir.
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