Seulement 30 % des jeunes dirigeants d’entreprises ont déclaré «avoir une idée précise des réformes entreprises par le gouvernement actuel, contre 53% qui n'ont qu'une "vague idée" de ces réformes et 16,7% n'ayant "aucune idée" , a montré un sondage réalisé, au cours du mois d’avril 2017, par le Centre des jeunes dirigeants d’entreprise, auprès d’un échantillon de 300 adhérents.
Selon le même sondage, 6% uniquement des jeunes dirigeants qualifient de « bon » le rythme de réalisation des réformes, alors que 21,2% considèrent que ce rythme est « moyen ». Ainsi, 47% et 25,8% des interviewés estiment respectivement qu’il s’agit là d’un rythme « lent » et « très lent ».
La lourdeur des procédures administratives, principal obstacle
D’après les jeunes dirigeants d’entreprises tunisiennes, les obstacles entravant la relance économique s’articulent essentiellement autour de « la lourdeur des procédures administratives » (50%), les problèmes du climat de confiance ou d’affaires (34,8%) et la lenteur d'’adoption des lois par l’ARP, ainsi que des textes et décrets d’application (12,1%).
En dépit de ces entraves, 37,9% des interviewés se sont dit «confiants » dans la reprise de l’économie tunisienne à moyen terme, alors que 45,5% ont déclaré être « peu confiants » et 15,2% ont souligné qu’ils ne sont « pas du tout confiants » dans cette relance.
Selon le même sondage, 6% uniquement des jeunes dirigeants qualifient de « bon » le rythme de réalisation des réformes, alors que 21,2% considèrent que ce rythme est « moyen ». Ainsi, 47% et 25,8% des interviewés estiment respectivement qu’il s’agit là d’un rythme « lent » et « très lent ».
La lourdeur des procédures administratives, principal obstacle
D’après les jeunes dirigeants d’entreprises tunisiennes, les obstacles entravant la relance économique s’articulent essentiellement autour de « la lourdeur des procédures administratives » (50%), les problèmes du climat de confiance ou d’affaires (34,8%) et la lenteur d'’adoption des lois par l’ARP, ainsi que des textes et décrets d’application (12,1%).
En dépit de ces entraves, 37,9% des interviewés se sont dit «confiants » dans la reprise de l’économie tunisienne à moyen terme, alors que 45,5% ont déclaré être « peu confiants » et 15,2% ont souligné qu’ils ne sont « pas du tout confiants » dans cette relance.
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