La candidate du Front national à la présidentielle a assuré ce dimanche 30 avril qu'elle se sentait "du peuple", voulait "défendre le peuple" et qu'elle n'était "pas une héritière", lors d'une interview sur France 2.
Lors de cet entretien enregistré à son QG de campagne une semaine avant le second tour et diffusé avant une interview de son adversaire Emmanuel Macron -suivant un ordre tiré au sort devant huissier-, Marine Le Pen a déclaré: "Je me sens du peuple, je suis au milieu de lui" et "surtout je veux le défendre".
"Je me sens du peuple" : regardez l'intégralité de l'interview de Marine Le Pen sur France 2
Comme on lui demandait ce que représentait "l'élite" à ses yeux, Le Pen a évoqué "toute la liste des soutiens de mon adversaire, vous allez avoir là les élites, que l'on peut appeler le système, l'oligarchie: la CGT, le Medef, les grands patrons de presse, l'UOIF", toute une série de personnes qui ont considéré depuis des années que le peuple avait tort".
"Marine Le Pen est une convertie récente du peuple. Soyons honnêtes. Le peuple, elle l'utilise, ce qui est le propre des extrêmes, ce qui est le propre des vrais démagogues. Le peuple, elle s'en moque au fond", a martelé le candidat d'En Marche!, lors d'une interview diffusée sur France 2 juste après, enregistrée à son QG de campagne parisien.
"Marine Le Pen est une héritière du système politique français. Elle a hérité de son parti, elle a hérité de son père et de ses idées", a assuré Emmanuel Macron.
Lors de cet entretien enregistré à son QG de campagne une semaine avant le second tour et diffusé avant une interview de son adversaire Emmanuel Macron -suivant un ordre tiré au sort devant huissier-, Marine Le Pen a déclaré: "Je me sens du peuple, je suis au milieu de lui" et "surtout je veux le défendre".
"Je me sens du peuple" : regardez l'intégralité de l'interview de Marine Le Pen sur France 2
Se présentant comme opposée à des "élites qui défendent leurs intérêts et sont prêtes à être heureuses toutes seules", la candidate a encore affirmé: "Moi je ne peux pas être heureuse si mon peuple est malheureux". "La France demain, est-ce que ce sera une espèce de salle de marché, ouverte à tous les vents violents et mauvais de la mondialisation, fragmentée entre communautés, et soumise aux revendications d'islamistes qui souhaitent tuer les valeurs de notre pays", a-t-elle demandé.
Comme on lui demandait ce que représentait "l'élite" à ses yeux, Le Pen a évoqué "toute la liste des soutiens de mon adversaire, vous allez avoir là les élites, que l'on peut appeler le système, l'oligarchie: la CGT, le Medef, les grands patrons de presse, l'UOIF", toute une série de personnes qui ont considéré depuis des années que le peuple avait tort".
A Laurent Delahousse qui observait qu'elle avait fait des études, était députée européenne et était dans l'héritage du parcours politique de Jean-Marie Le Pen, elle a répliqué: "Je n'ai hérité de rien. Je me suis présentée à la tête du mouvement politique et j'ai été élue". Et avec le cofondateur du FN, "la rupture politique est définitive", a-t-elle plaidé.
"Marine Le Pen est une convertie récente du peuple. Soyons honnêtes. Le peuple, elle l'utilise, ce qui est le propre des extrêmes, ce qui est le propre des vrais démagogues. Le peuple, elle s'en moque au fond", a martelé le candidat d'En Marche!, lors d'une interview diffusée sur France 2 juste après, enregistrée à son QG de campagne parisien.
"Marine Le Pen est une héritière du système politique français. Elle a hérité de son parti, elle a hérité de son père et de ses idées", a assuré Emmanuel Macron.
Retrouvez les articles du HuffPost Tunisie sur notre page Facebook.