Réunis, vendredi à Tunis, autour d’une table ronde sur les “phénomènes comportementaux émergents chez les jeunes tunisiens”, des psychologues ont mis en garde contre les risques encourus par l’addiction numérique tels que le déséquilibre physique et mental et l’altération de la vie sociale.
“L’addiction numérique est un phénomène, qui depuis la révolution du 14 Janvier, ne cesse de prendre de l’ampleur”, ont-ils déploré, lors de cette rencontre organisée à l’initiative de l’Office National de la Famille et de la Population, dans le cadre de la 15e session du forum de la famille et de la santé reproductive.
Ces spécialistes ont ainsi appelé à la nécessité de trouver les solutions nécessaires afin de lutter contre ce fléau qui touche essentiellement les jeunes.
Riadh Ben Rejeb, Professeur en psychologique clinique et pathologique à la Faculté des Sciences Humaines et Sociales a mis l’accent sur l’importance d’encadrer cette catégorie de jeunes souffrant d’un appauvrissement intellectuel et qui trouvent refuge dans l’alcool, les stupéfiants et Internet.
Afin d’éviter tous ces risques, a-t-il dit, ces jeunes sont appelés à limiter les heures de connexion à internet, à intensifier les activités culturelles (musique, peinture, théâtre, lecture…) et sportives car ce genre d’activités permet de quitter le monde imaginaire pour revenir à la réalité.
“A l’heure où les relations familiales connaissent un certain effritement, il devient impérieux de redéfinir le rôle de la famille qui occupe un rôle essentiel dans la protection des jeunes contre les risques de la cyberaddiction”, a-t-il encore préconisé.
Par ailleurs, la Directrice des relations publiques à l’ONFP, Rebeh Cherif a indiqué que son organisation a créé 21 espaces amis des jeunes afin de leur offrir des services psychologiques et médicaux gratuits, soulignant qu’il sera question prochainement de développer ces espaces.
“L’addiction numérique est un phénomène, qui depuis la révolution du 14 Janvier, ne cesse de prendre de l’ampleur”, ont-ils déploré, lors de cette rencontre organisée à l’initiative de l’Office National de la Famille et de la Population, dans le cadre de la 15e session du forum de la famille et de la santé reproductive.
Ces spécialistes ont ainsi appelé à la nécessité de trouver les solutions nécessaires afin de lutter contre ce fléau qui touche essentiellement les jeunes.
Riadh Ben Rejeb, Professeur en psychologique clinique et pathologique à la Faculté des Sciences Humaines et Sociales a mis l’accent sur l’importance d’encadrer cette catégorie de jeunes souffrant d’un appauvrissement intellectuel et qui trouvent refuge dans l’alcool, les stupéfiants et Internet.
Afin d’éviter tous ces risques, a-t-il dit, ces jeunes sont appelés à limiter les heures de connexion à internet, à intensifier les activités culturelles (musique, peinture, théâtre, lecture…) et sportives car ce genre d’activités permet de quitter le monde imaginaire pour revenir à la réalité.
“A l’heure où les relations familiales connaissent un certain effritement, il devient impérieux de redéfinir le rôle de la famille qui occupe un rôle essentiel dans la protection des jeunes contre les risques de la cyberaddiction”, a-t-il encore préconisé.
Par ailleurs, la Directrice des relations publiques à l’ONFP, Rebeh Cherif a indiqué que son organisation a créé 21 espaces amis des jeunes afin de leur offrir des services psychologiques et médicaux gratuits, soulignant qu’il sera question prochainement de développer ces espaces.
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