La situation est précaire à l'hôpital a affirmé Belgacem Daboussi, médecin et membre du Syndicat de l'hôpital régional de Tataouine à la radio Shems FM.
"La situation est catastrophique" déplore-t-il rappelant la mort d'un jeune manifestant de 21 ans ainsi que l'hospitalisation de 3 cas très préoccupants.
Face au grand nombre de blessés se déplaçant à l'hôpital, Belgacem Daboussi craint le pire: "La situation va encore s'envenimer et nous avons besoin de l'aide des hôpitaux voisins" a-t-il affirmé indiquant que "l'hôpital ne peut plus accueillir de patients" soignant actuellement entre 150 et 200 personnes souffrant de difficultés respiratoires à cause du gaz lacrymogène, "sans compter que le nombre de blessés continue d'augmenter".
Après une nuit de tensions en réaction contre l’annonce par le gouvernement de la réouverture de la vanne de la station de pompage de pétrole à El Kamour fermée samedi sous la pression des manifestants,les hostilités repartent de plus belle, lundi matin, après que les forces de l'ordres aient empêchés des manifestants d'accéder à la station de pétrole en utilisant du gaz lacrymogène.
En réaction, les manifestants ont pris d'assaut le siège du gouvernorat, le siège de la Garde nationale et la délégation régionale de la sécurité publique ont été brûlés après avoir été abandonnés par les forces de l'ordre.
Un jeune homme de 21 ans est mort au cours de ces manifestations. Le ministère de la Santé, dans une déclaration à l'AFP évoque l'accident: "La cellule des opérations centrales au ministère de la Santé annonce la mort accidentelle d'un jeune, (écrasé) par une voiture de la Garde nationale. Il s'agit d'un manifestant" a indiqué à l'AFP le service de communication du ministère.
Intervenant sur les ondes de la radio Mosaïque Fm, le directeur de l'hôpital régional Ibrahim Gharghar a indiqué que l'autopsie était en cours et qu'il était pour le moment "impossible de donner la cause exacte du décès".
"La situation est catastrophique" déplore-t-il rappelant la mort d'un jeune manifestant de 21 ans ainsi que l'hospitalisation de 3 cas très préoccupants.
Face au grand nombre de blessés se déplaçant à l'hôpital, Belgacem Daboussi craint le pire: "La situation va encore s'envenimer et nous avons besoin de l'aide des hôpitaux voisins" a-t-il affirmé indiquant que "l'hôpital ne peut plus accueillir de patients" soignant actuellement entre 150 et 200 personnes souffrant de difficultés respiratoires à cause du gaz lacrymogène, "sans compter que le nombre de blessés continue d'augmenter".
Après une nuit de tensions en réaction contre l’annonce par le gouvernement de la réouverture de la vanne de la station de pompage de pétrole à El Kamour fermée samedi sous la pression des manifestants,les hostilités repartent de plus belle, lundi matin, après que les forces de l'ordres aient empêchés des manifestants d'accéder à la station de pétrole en utilisant du gaz lacrymogène.
En réaction, les manifestants ont pris d'assaut le siège du gouvernorat, le siège de la Garde nationale et la délégation régionale de la sécurité publique ont été brûlés après avoir été abandonnés par les forces de l'ordre.
Un jeune homme de 21 ans est mort au cours de ces manifestations. Le ministère de la Santé, dans une déclaration à l'AFP évoque l'accident: "La cellule des opérations centrales au ministère de la Santé annonce la mort accidentelle d'un jeune, (écrasé) par une voiture de la Garde nationale. Il s'agit d'un manifestant" a indiqué à l'AFP le service de communication du ministère.
Intervenant sur les ondes de la radio Mosaïque Fm, le directeur de l'hôpital régional Ibrahim Gharghar a indiqué que l'autopsie était en cours et qu'il était pour le moment "impossible de donner la cause exacte du décès".
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