"11 millions de litres de produits laitiers ont été exportés en 2017. C'est un record," a annoncé le secrétaire d’État à la production agricole, Omar El Béhi, sur les ondes de Shems Fm.
Il a indiqué que c'est la première fois que l'exportation nationale dans le secteur laitier atteint un tel niveau, comparant à la même période des années précédentes. Il a estimé que cet exploit s'explique par l'adoption de nouveaux mécanismes de régulation tels que l’encouragement d'exportation, de stockage et de séchage du lait. "Grâce à ces mesures, aucun incident n'a eu lieu dans le secteur cette année," a-t-il indiqué.
Depuis quelques années, le secteur laitier en Tunisie rencontre une crise sans précédant, alternant pénurie et abondance. En 2015, près de 200 mille litres de lait sont détruits quotidiennement par les centres. Un vrai gâchis qui est dû à la surproduction, le déséquilibre frappant entre l’offre et la demande du marché et le manque de centres et unités de collecte et de stockage.
Selon une étude exhaustive sur le coût de la production du lait en Tunisie élaborée par l’Union Tunisiennes de l’Agriculture et de la Pêche (UTAP), la crise touche toute la chaîne allant de l’élevage, à l’industrialisation passant par la production. Des mesures ont été, donc, prises par le gouvernement pour stopper l'hémorragie et équilibrer le marché.
Une nouvelles stratégie a été également adoptée visant à accorder plus d'intérêt à l'élevage des vaches, améliorer les techniques de traire des vaches, de stockage et de transport de lait dans des réservoirs réfrigérés et d'appliquer un barème unifié du lait qui prend en considération les critères de reconnaissance de la qualité, à l'achat et à la vente de lait, à l'instar du barème unifié du blé.
Il a indiqué que c'est la première fois que l'exportation nationale dans le secteur laitier atteint un tel niveau, comparant à la même période des années précédentes. Il a estimé que cet exploit s'explique par l'adoption de nouveaux mécanismes de régulation tels que l’encouragement d'exportation, de stockage et de séchage du lait. "Grâce à ces mesures, aucun incident n'a eu lieu dans le secteur cette année," a-t-il indiqué.
Depuis quelques années, le secteur laitier en Tunisie rencontre une crise sans précédant, alternant pénurie et abondance. En 2015, près de 200 mille litres de lait sont détruits quotidiennement par les centres. Un vrai gâchis qui est dû à la surproduction, le déséquilibre frappant entre l’offre et la demande du marché et le manque de centres et unités de collecte et de stockage.
Selon une étude exhaustive sur le coût de la production du lait en Tunisie élaborée par l’Union Tunisiennes de l’Agriculture et de la Pêche (UTAP), la crise touche toute la chaîne allant de l’élevage, à l’industrialisation passant par la production. Des mesures ont été, donc, prises par le gouvernement pour stopper l'hémorragie et équilibrer le marché.
Une nouvelles stratégie a été également adoptée visant à accorder plus d'intérêt à l'élevage des vaches, améliorer les techniques de traire des vaches, de stockage et de transport de lait dans des réservoirs réfrigérés et d'appliquer un barème unifié du lait qui prend en considération les critères de reconnaissance de la qualité, à l'achat et à la vente de lait, à l'instar du barème unifié du blé.
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