Khemaies Ksila et Ennaceur Chouikh ont annoncé, lundi, leur démission de Nidaa Tounes et du groupe du parti à l’Assemblée des représentants du peuple (ARP).
La lettre de démission a été déposée au bureau d’ordre du Parlement. Elle sera examinée par Mohamed Ennaceur, président de l’ARP conformément aux dispositions du règlement intérieur du Parlement.
Dans une déclaration à l’agence TAP, Chouikh a justifié la décision de sa démission par le blocage constaté dans le processus de réforme du parti outre la manière de gérer cette formation politique.
"La manière de gérer Nidaa Tounes est anti-démocratique. Elle doit changer", a-t-il poursuivi.
Selon Chouikh, la gestion du parti est contradictoire avec les recommandations issues du congrès de Sousse (janvier 2016) au cours duquel, il a été convenu de créer un comité politique et de répartir les rôles et responsabilités en attendant la tenue d’un congrès électif en juillet 2016.
De son côté Khemaies Ksila a expliqué que sa démission intervient dans un climat de tension caractérisé par la mainmise de Hafedh Caid Essebsi (fils du président de la République) sur le parti.
Ridha Belhaj, Boujemaa Rémili, Faouzi Maaoui et Abdelaziz El kotti ont également annoncé leur démission du parti.
La lettre de démission a été déposée au bureau d’ordre du Parlement. Elle sera examinée par Mohamed Ennaceur, président de l’ARP conformément aux dispositions du règlement intérieur du Parlement.
Dans une déclaration à l’agence TAP, Chouikh a justifié la décision de sa démission par le blocage constaté dans le processus de réforme du parti outre la manière de gérer cette formation politique.
"La manière de gérer Nidaa Tounes est anti-démocratique. Elle doit changer", a-t-il poursuivi.
Selon Chouikh, la gestion du parti est contradictoire avec les recommandations issues du congrès de Sousse (janvier 2016) au cours duquel, il a été convenu de créer un comité politique et de répartir les rôles et responsabilités en attendant la tenue d’un congrès électif en juillet 2016.
”Sur un total de 110 membres du bureau exécutif, 91 ont déjà quitté en raison des pratiques et décisions unilatérales", a-t-il regretté.
De son côté Khemaies Ksila a expliqué que sa démission intervient dans un climat de tension caractérisé par la mainmise de Hafedh Caid Essebsi (fils du président de la République) sur le parti.
Ridha Belhaj, Boujemaa Rémili, Faouzi Maaoui et Abdelaziz El kotti ont également annoncé leur démission du parti.
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