Alors que la condamnation de quatre Tunisiens à un mois de prison pour "outrage public à la pudeur", après avoir mangé dans un jardin public en plein Ramadan, a suscité un tollé et a été relayé par les médias internationaux, la situation dans les autres pays arabes n'est pas préférable pour les non-jeûneurs, comme le montre cette vidéo de la chaîne DW-TV (ci-dessous).
Légalement, les peines sont différentes, mais le socle commun entre tous ces pays est le même: une répression flagrante des non-jeûneurs, sommés d'être discrets, sous peine d'encourir la flagellation, le bannissement pour les étrangers comme en Arabie Saoudite, la prison allant d'un mois à plusieurs, ainsi que diverses amendes, et ce dans quasiment tous les pays arabes, de Tunisie (sous couvert de l'atteinte à la pudeur) en passant par le Maroc, le Koweit, l'Algérie ou encore l'Egypte, où un texte de loi y est spécialement dédié.
Dans certains de ces pays, ces lois s'appliquent même sur les étrangers comme dans le royaume wahhabite ou au Qatar.
Si cette répression provoque des mouvements de contestation, réclamant le respect des libertés individuelles comme en Tunisie ou en Algérie par exemple, dans d'autres pays arabes, elle est banalisée et passe sous silence.
LIRE AUSSI: Tunisie: Un mois de prison après avoir mangé en public pendant le ramadan
Légalement, les peines sont différentes, mais le socle commun entre tous ces pays est le même: une répression flagrante des non-jeûneurs, sommés d'être discrets, sous peine d'encourir la flagellation, le bannissement pour les étrangers comme en Arabie Saoudite, la prison allant d'un mois à plusieurs, ainsi que diverses amendes, et ce dans quasiment tous les pays arabes, de Tunisie (sous couvert de l'atteinte à la pudeur) en passant par le Maroc, le Koweit, l'Algérie ou encore l'Egypte, où un texte de loi y est spécialement dédié.
Dans certains de ces pays, ces lois s'appliquent même sur les étrangers comme dans le royaume wahhabite ou au Qatar.
Si cette répression provoque des mouvements de contestation, réclamant le respect des libertés individuelles comme en Tunisie ou en Algérie par exemple, dans d'autres pays arabes, elle est banalisée et passe sous silence.
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