L'Algérie, l'Egypte et la Tunisie ont réitéré mardi à Alger leur rejet de toute "ingérence" et de "l'option militaire" en Libye et réaffirmé leur attachement à une résolution politique du conflit libyen, selon l'agence algérienne APS.
A l'issue d'une réunion dans la capitale algérienne, les ministres des Affaires étrangères des trois pays ont adopté "la déclaration ministérielle d'Alger en faveur d'un règlement inclusif en Libye", explique APS.
Dans cette déclaration les trois voisins de la Libye ont souligné "l'impératif de rejeter le recours à la violence" et l'interdiction "de
prendre toute mesure de nature à entraver le processus de règlement politique en Libye qui prolongerait la souffrance du peuple libyen, particulièrement au niveau économique et humanitaire".
Algérie, Egypte et Tunisie ont réitéré leur "rejet de l'ingérence et de l'option militaire" et leur attachement à "la solution politique comme seul moyen pour résoudre la crise (en Libye) à travers un dialogue inclusif".
Ils ont également mis en garde contre les "retombées de la dégradation de la situation sur la sécurité et la stabilité de la Libye et de toute la région, une situation qui sert les intérêts des groupes terroristes et leur ouvre la voie pour élargir leur activités criminelles", selon la même source.
Tunis, Alger et Le Caire sont préoccupés par l'insécurité à leurs frontières avec la Libye, devenue un pays de transit à la fois pour les groupes jihadistes, pour les trafiquants d'armes et pour de nombreux migrants souhaitant rejoindre l'Europe.
Après la chute du régime de Mouammar Kadhafi à la suite d'une révolte populaire en 2011, un vide politique et sécuritaire s'est créé dans le sud du pays --une région désertique peuplée de tribus rivales--, laissant la place aux trafics en tous genres, à la montée en puissance de milices locales et de jihadistes.
A l'issue d'une réunion dans la capitale algérienne, les ministres des Affaires étrangères des trois pays ont adopté "la déclaration ministérielle d'Alger en faveur d'un règlement inclusif en Libye", explique APS.
Dans cette déclaration les trois voisins de la Libye ont souligné "l'impératif de rejeter le recours à la violence" et l'interdiction "de
prendre toute mesure de nature à entraver le processus de règlement politique en Libye qui prolongerait la souffrance du peuple libyen, particulièrement au niveau économique et humanitaire".
Algérie, Egypte et Tunisie ont réitéré leur "rejet de l'ingérence et de l'option militaire" et leur attachement à "la solution politique comme seul moyen pour résoudre la crise (en Libye) à travers un dialogue inclusif".
Ils ont également mis en garde contre les "retombées de la dégradation de la situation sur la sécurité et la stabilité de la Libye et de toute la région, une situation qui sert les intérêts des groupes terroristes et leur ouvre la voie pour élargir leur activités criminelles", selon la même source.
Tunis, Alger et Le Caire sont préoccupés par l'insécurité à leurs frontières avec la Libye, devenue un pays de transit à la fois pour les groupes jihadistes, pour les trafiquants d'armes et pour de nombreux migrants souhaitant rejoindre l'Europe.
Après la chute du régime de Mouammar Kadhafi à la suite d'une révolte populaire en 2011, un vide politique et sécuritaire s'est créé dans le sud du pays --une région désertique peuplée de tribus rivales--, laissant la place aux trafics en tous genres, à la montée en puissance de milices locales et de jihadistes.
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