INFLATION - L'inflation semble revenir, selon la Banque centrale de Tunisie (BCT), "à partir du troisième trimestre 2016" et au-delà en 2017, peut-on lire dans sa note de conjoncture d'avril 2016, publiée le 3 mai.
Jusque-là, elle reculait selon la BCT, que ce soit l'inflation "générale" ou l'inflation sous-jacente (qui ne compte pas les produits alimentaires frais et administrés). La baisse des produits alimentaires y a contribué:
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Tensions légères sur les prix
En revanche, les produits administrés devraient eux baisser en 2016, et ce notamment grâce à "l’entrée en vigueur du mécanisme d’ajustement automatique des prix à la pompe aux prix internationaux, début juillet prochain, et l’annonce d’une nouvelle baisse des prix, à la même date".
Pas suffisant toutefois pour voir la baisse de l'inflation se poursuivre, car "une trajectoire plus ascendante du prix du pétrole et une transmission plus marquée des hausses des coûts salariaux pourraient favoriser une accélération des prix", s'inquiète la Banque centrale.
Malgré tout, cette inflation reste gérable pour la BCT, qui estime que "les risques entachant l’inflation semblent globalement équilibrés". Toutefois, la raison principale qui freine la hausse des prix reste "la persistance de la faiblesse de la demande de consommation".
Jusque-là, elle reculait selon la BCT, que ce soit l'inflation "générale" ou l'inflation sous-jacente (qui ne compte pas les produits alimentaires frais et administrés). La baisse des produits alimentaires y a contribué:
Tensions légères sur les prix
En revanche, les produits administrés devraient eux baisser en 2016, et ce notamment grâce à "l’entrée en vigueur du mécanisme d’ajustement automatique des prix à la pompe aux prix internationaux, début juillet prochain, et l’annonce d’une nouvelle baisse des prix, à la même date".
Pas suffisant toutefois pour voir la baisse de l'inflation se poursuivre, car "une trajectoire plus ascendante du prix du pétrole et une transmission plus marquée des hausses des coûts salariaux pourraient favoriser une accélération des prix", s'inquiète la Banque centrale.
Malgré tout, cette inflation reste gérable pour la BCT, qui estime que "les risques entachant l’inflation semblent globalement équilibrés". Toutefois, la raison principale qui freine la hausse des prix reste "la persistance de la faiblesse de la demande de consommation".
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