Le Fonds monétaire international (FMI) vient d’autoriser, lundi soir, le versement de la deuxième tranche du prêt alloué à la Tunisie. Celle-ci s’élève à 314,4 millions de dollars (787 millions de dinars).
Le FMI avait validé, en mai 2016, l’octroi d’un crédit de 2,9 milliards de dollars à la Tunisie.
La Tunisie a déjà obtenu 320 millions de dollars au titre de première tranche de ce prêt accordé à la Tunisie dans le cadre de son programme de développement économique, approuvé en mai 2016.
Le reste du montant devrait être versé sur d'autres tranches en fonction de l’avancement de l’exécution du programme de réforme économique défini.
Lors d'une visite d'une délégation du FMI au mois d'avril dernier, celle-ci a affirmé que "la Tunisie fait face à des défis économiques importants. Les déficits budgétaires et des comptes extérieurs ont atteint des niveaux record, le pourcentage de la masse salariale dans le PIB total est maintenant l'un de plus importants au monde et la dette publique a encore augmenté à 63% du PIB à la fin 2016 alors que l'inflation de base a augmenté". "La croissance en 2017 devait doubler à 2,3% mais cela restera trop bas pour réduire sensiblement le chômage, surtout dans les régions de l'intérieur du pays et parmi les jeunes".
"La situation économique difficile réclame des mesures rapides et fermes pour maintenir la stabilité économique et encourager la création d'emplois", avait préconisé la mission dans ses conclusions.
La mission avait cependant salué "les progrès encourageants dans la mise en oeuvre des réformes qui avaient été retardées", notamment "les nouveaux textes de loi sur l'investissement et la concurrence, les travaux d'établissement d'une nouvelle instance constitutionnelle chargée de la lutte contre la corruption et les mesures de réforme des banques et des entreprises publiques".
Le FMI avait validé, en mai 2016, l’octroi d’un crédit de 2,9 milliards de dollars à la Tunisie.
La Tunisie a déjà obtenu 320 millions de dollars au titre de première tranche de ce prêt accordé à la Tunisie dans le cadre de son programme de développement économique, approuvé en mai 2016.
Le reste du montant devrait être versé sur d'autres tranches en fonction de l’avancement de l’exécution du programme de réforme économique défini.
Lors d'une visite d'une délégation du FMI au mois d'avril dernier, celle-ci a affirmé que "la Tunisie fait face à des défis économiques importants. Les déficits budgétaires et des comptes extérieurs ont atteint des niveaux record, le pourcentage de la masse salariale dans le PIB total est maintenant l'un de plus importants au monde et la dette publique a encore augmenté à 63% du PIB à la fin 2016 alors que l'inflation de base a augmenté". "La croissance en 2017 devait doubler à 2,3% mais cela restera trop bas pour réduire sensiblement le chômage, surtout dans les régions de l'intérieur du pays et parmi les jeunes".
"La situation économique difficile réclame des mesures rapides et fermes pour maintenir la stabilité économique et encourager la création d'emplois", avait préconisé la mission dans ses conclusions.
La mission avait cependant salué "les progrès encourageants dans la mise en oeuvre des réformes qui avaient été retardées", notamment "les nouveaux textes de loi sur l'investissement et la concurrence, les travaux d'établissement d'une nouvelle instance constitutionnelle chargée de la lutte contre la corruption et les mesures de réforme des banques et des entreprises publiques".
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