Le président de l’Union patriotique libre et du Club africain, Slim Riahi, a déclaré, dans une intervention accordée à la radio Kelma (dont il est le propriétaire) qu’il se retirait définitivement de la présidence du Club africain.
Expliquant que son départ est plus bénéfique pour le Club, Riahi a assuré que celui-ci a été politisé par des parties qui sont passées par le CA pour lui nuire. Appelant les anciens présidents du club à "tendre leurs mains et aider leur équipe", Riahi a indiqué que les candidatures seront étudiées lors de la prochaine Assemblée générale du club.
Revenant sur l’affaire Maher Ben Dhia, le président de l’UPL a renouvelé ses attaques à l’encontre de l’actuel ministre de la Jeunesse et du sport en expliquant qu’il a été injuste avec lui en le désignant pour le poste en question.
Pour lui, le ministre n’entretien aucune relation avec les différents clubs sportifs du pays et la Fédération tunisienne du football est en train de faire régner sa loi comme elle l’entend.
Toutefois, les problèmes de Slim Riahi ne relèvent plus uniquement du domaine du football: il est en effet accusé d’être impliqué dans une grande affaire de corruption.
Riahi aurait créé, au sein de son propre parti, une commission spéciale chargée de faire chanter les hommes d’affaires afin qu’ils donnent de l’argent au profit de l’UPL.
Le secrétaire-général du parti et ministre des Domaines de l’Etat, Hatem Euchi, serait l’un des membres de la commission en question. Tous ces faits ont été exposés lors d’une conférence de presse tenue par le démissionnaire de l’UPL et conseiller auprès du ministre du Commerce, Jamal Tlili.
Intervenant sur la chaîne Nessma TV, au cours de la journée d'hier, Tlili a dévoilé une photo qui montre le chef du contentieux de l’Etat présent à l’une des réunions de l’UPL.
Répondant à ces accusations, Hatem Euchi a chargé l’avocat Kamel Ben Messaoud de porter plainte contre Jamal Tlili conformément à l’article 128 du code pénal.
Ceci n’est pas la première crise par laquelle passe l’UPL: après la démission d’Ahlem Kamarji en décembre 2015, le parti n’a cessé de perdre des membres qui lui ont été, pourtant, vitaux.
Ces crises répétitives ont fini par impacter le parti au niveau de l’Assemblée des représentants du peuple après qu’il ait perdu trois de ses députés.
Une affaire qui, rappelons-le, a causé une grande crise entre l’UPL et le mouvement de Nidaa Tounes.
Expliquant que son départ est plus bénéfique pour le Club, Riahi a assuré que celui-ci a été politisé par des parties qui sont passées par le CA pour lui nuire. Appelant les anciens présidents du club à "tendre leurs mains et aider leur équipe", Riahi a indiqué que les candidatures seront étudiées lors de la prochaine Assemblée générale du club.
Revenant sur l’affaire Maher Ben Dhia, le président de l’UPL a renouvelé ses attaques à l’encontre de l’actuel ministre de la Jeunesse et du sport en expliquant qu’il a été injuste avec lui en le désignant pour le poste en question.
Pour lui, le ministre n’entretien aucune relation avec les différents clubs sportifs du pays et la Fédération tunisienne du football est en train de faire régner sa loi comme elle l’entend.
Toutefois, les problèmes de Slim Riahi ne relèvent plus uniquement du domaine du football: il est en effet accusé d’être impliqué dans une grande affaire de corruption.
Riahi aurait créé, au sein de son propre parti, une commission spéciale chargée de faire chanter les hommes d’affaires afin qu’ils donnent de l’argent au profit de l’UPL.
Le secrétaire-général du parti et ministre des Domaines de l’Etat, Hatem Euchi, serait l’un des membres de la commission en question. Tous ces faits ont été exposés lors d’une conférence de presse tenue par le démissionnaire de l’UPL et conseiller auprès du ministre du Commerce, Jamal Tlili.
Intervenant sur la chaîne Nessma TV, au cours de la journée d'hier, Tlili a dévoilé une photo qui montre le chef du contentieux de l’Etat présent à l’une des réunions de l’UPL.
Répondant à ces accusations, Hatem Euchi a chargé l’avocat Kamel Ben Messaoud de porter plainte contre Jamal Tlili conformément à l’article 128 du code pénal.
Ceci n’est pas la première crise par laquelle passe l’UPL: après la démission d’Ahlem Kamarji en décembre 2015, le parti n’a cessé de perdre des membres qui lui ont été, pourtant, vitaux.
Ces crises répétitives ont fini par impacter le parti au niveau de l’Assemblée des représentants du peuple après qu’il ait perdu trois de ses députés.
Une affaire qui, rappelons-le, a causé une grande crise entre l’UPL et le mouvement de Nidaa Tounes.
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