Le ministre des Énergies et des mines tunisien Mongi Marzouk, invité sur Shems FM, est revenu sur le dossier des énergies renouvelables en Tunisie.
Interrogé sur les raisons pour lesquelles le voisin marocain est plus compétitif en matière d'énergies renouvelables et d'énergie solaire, le ministre s'est targué d'une réponse pour le moins insolite: "Concernant le soleil, nous n'avons pas le même soleil que le Maroc, on en a un petit peu moins car ils sont plus proches de l'équateur terrestre" affirme-t-il tout sourire.
Selon le ministre, même le vent n'est pas le même en Tunisie et au Maroc: "Même le vent est moins fort (en Tunisie), car ils (les marocains) se trouvent sur l'Atlantique".
Par ailleurs, Mongi Marzouk a indiqué qu'après l'adoption de la loi sur les énergies renouvelables, les décrets d'applications et les contrats entre la Société Tunisienne de l'Electricité et du Gaz (STEG) et les investisseurs sont prêts. Ces derniers seront proposés à la présidence du gouvernement dans un délai "entre deux et trois semaines".
Si ils restent avantageux, les prix des énergies renouvelables ont augmenté ces derniers temps a par ailleurs affirmé le ministre, et ce "à cause de la baisse du prix du pétrole" a-t-il expliqué.
La Tunisie démarre de très bas
Si le potentiel en énergie solaire et éolienne existe en Tunisie, cela n'est pas suffisamment développé selon le ministre des Énergies et des mines: "Aujourd'hui, nous démarrons de très bas, car nous avons seulement 3% de production issue d'énergie renouvelable dont la grande majorité provient du vent et un tout petit peu du soleil" explique t-il.
Cependant, selon le ministre, la Tunisie pourra être très rapidement compétitive: "D'ici à 2020, la STEG produira grâce à l'énergie solaire et éolienne entre 200 et 250 Mégawatts".
Interrogé sur les raisons pour lesquelles le voisin marocain est plus compétitif en matière d'énergies renouvelables et d'énergie solaire, le ministre s'est targué d'une réponse pour le moins insolite: "Concernant le soleil, nous n'avons pas le même soleil que le Maroc, on en a un petit peu moins car ils sont plus proches de l'équateur terrestre" affirme-t-il tout sourire.
Selon le ministre, même le vent n'est pas le même en Tunisie et au Maroc: "Même le vent est moins fort (en Tunisie), car ils (les marocains) se trouvent sur l'Atlantique".
Par ailleurs, Mongi Marzouk a indiqué qu'après l'adoption de la loi sur les énergies renouvelables, les décrets d'applications et les contrats entre la Société Tunisienne de l'Electricité et du Gaz (STEG) et les investisseurs sont prêts. Ces derniers seront proposés à la présidence du gouvernement dans un délai "entre deux et trois semaines".
Si ils restent avantageux, les prix des énergies renouvelables ont augmenté ces derniers temps a par ailleurs affirmé le ministre, et ce "à cause de la baisse du prix du pétrole" a-t-il expliqué.
La Tunisie démarre de très bas
Si le potentiel en énergie solaire et éolienne existe en Tunisie, cela n'est pas suffisamment développé selon le ministre des Énergies et des mines: "Aujourd'hui, nous démarrons de très bas, car nous avons seulement 3% de production issue d'énergie renouvelable dont la grande majorité provient du vent et un tout petit peu du soleil" explique t-il.
Cependant, selon le ministre, la Tunisie pourra être très rapidement compétitive: "D'ici à 2020, la STEG produira grâce à l'énergie solaire et éolienne entre 200 et 250 Mégawatts".
Retrouvez les articles du HuffPost Tunisie sur notre page Facebook.