Les vols de TUNISAIR sur la ligne Montréal/Tunis sont complets, d’ici le mois de juillet, période de retour des tunisiens résidents au Canada, au vu des réservations auprès de la compagnie, a indiqué Farouk Ben Zina, directeur de la communication et des relations extérieures, du transporteur national.
Il a ajouté que le principal challenge de TUNISAIR, est d’assurer la rentabilité de cette ligne tout au long de l’année "Ceci est tributaire de la réussite de la saison hivernale qui se caractérise par une dynamique du marché touristique canadien, vu que les touristes canadiens préfèrent voyager au cours de la période allant de septembre à mars."
Il a fait savoir par ailleurs, que la représentation de TUNISAIR à Montréal a travaillé sur la promotion de ce premier vol long courrier, depuis 6 mois, rappelant que les études relatives à l’ouverture de cette ligne datent de 2008, époque où la compagnie ne disposait pas encore, d’avions long courrier.
Pour sa part, le représentant de TUNISAIR au Canada, Faouzi Mouelhi a fait savoir que 211 passagers sont à bord du vol Montréal/Tunis (TU 203) dont 70 touristes canadiens qui passeront des séjours d’une à trois semaines en Tunisie. Leur voyage est organisé par deux grands tour-opérateurs canadiens, avec lesquels TUNISAIR a établi des relations de partenariat.
Et d’ajouter que la majorité des autres passagers sont des tunisiens résidents au Canada dont le retour au pays se poursuivra jusqu’au mois de juillet tandis que leur retour au Canada est programmé pour le mois de septembre.
Passagère enthousiaste du vol inaugural Tunis-Montréal, Nouha qui prépare un doctorat en ingénierie chimique, à Ottawa, a souligné que cette ligne directe est une opportunité et un gain de temps, vu qu’auparavant, les vols de correspondance, les escales et les heures d’attente étaient longs et très fatigants. "Durant mes années d’études, j’ai raté plusieurs fois les vols de transit et j’ai passé la nuit dans les pays de transit pour prendre le vol suivant", confie-t-elle.
Mouelhi a mis l’accent sur l’importance de cette ligne pour l’économie nationale, "puisqu'elle fait gagner aux investisseurs des deux pays et aux étudiants temps et argent, outre sa contribution à la stimulation des flux touristiques, surtout que le pouvoir d’achat des canadiens est plus élevé que celui des européens".
"Nous travaillons, actuellement, sur la période d’arrière saison, après le retour de la communauté tunisienne au Canada", a-t-il ajouté dans une déclaration à l’Agence TAP, à l’occasion du vol Montréal-Tunis effectué le 19 juin.
Il a ajouté que le principal challenge de TUNISAIR, est d’assurer la rentabilité de cette ligne tout au long de l’année "Ceci est tributaire de la réussite de la saison hivernale qui se caractérise par une dynamique du marché touristique canadien, vu que les touristes canadiens préfèrent voyager au cours de la période allant de septembre à mars."
Il a fait savoir par ailleurs, que la représentation de TUNISAIR à Montréal a travaillé sur la promotion de ce premier vol long courrier, depuis 6 mois, rappelant que les études relatives à l’ouverture de cette ligne datent de 2008, époque où la compagnie ne disposait pas encore, d’avions long courrier.
Pour sa part, le représentant de TUNISAIR au Canada, Faouzi Mouelhi a fait savoir que 211 passagers sont à bord du vol Montréal/Tunis (TU 203) dont 70 touristes canadiens qui passeront des séjours d’une à trois semaines en Tunisie. Leur voyage est organisé par deux grands tour-opérateurs canadiens, avec lesquels TUNISAIR a établi des relations de partenariat.
Et d’ajouter que la majorité des autres passagers sont des tunisiens résidents au Canada dont le retour au pays se poursuivra jusqu’au mois de juillet tandis que leur retour au Canada est programmé pour le mois de septembre.
Passagère enthousiaste du vol inaugural Tunis-Montréal, Nouha qui prépare un doctorat en ingénierie chimique, à Ottawa, a souligné que cette ligne directe est une opportunité et un gain de temps, vu qu’auparavant, les vols de correspondance, les escales et les heures d’attente étaient longs et très fatigants. "Durant mes années d’études, j’ai raté plusieurs fois les vols de transit et j’ai passé la nuit dans les pays de transit pour prendre le vol suivant", confie-t-elle.
Mouelhi a mis l’accent sur l’importance de cette ligne pour l’économie nationale, "puisqu'elle fait gagner aux investisseurs des deux pays et aux étudiants temps et argent, outre sa contribution à la stimulation des flux touristiques, surtout que le pouvoir d’achat des canadiens est plus élevé que celui des européens".
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