”Le retard considérable pris dans l’adoption de la loi relative aux élections municipales et locales va entraîner la révision de la totalité du calendrier électoral établi par l’Instance supérieure indépendante des élections (ISIE)“, a indiqué lundi le président de l’Instance, Chafik Sarsar.
Avec l’avènement des vacances parlementaires (tout le mois d’août), l’ISIE se trouve dans l’obligation de repousser le calendrier électoral, y compris la date des élections municipales fixées pour le 26 mars 2017, a-t-il expliqué à l’agence TAP en marge d’une cérémonie organisée au palais du Bardo à l’occasion de la fête de la République.
Il a affirmé que “L’Instance s’est acquittée pleinement de son devoir et a expliqué le processus électoral à tous les intervenants pour appliquer strictement l’article 7 de la Constitution”.
”L’expérience nous a appris que l’on ne peut travailler en toute confiance en Tunisie sans publier la loi dans le Journal officiel de la République tunisienne (JORT)”; a-t-il ajouté.
L’Assemblée des représentants du peuple (ARP) avait entamé le 1er juin dernier l’examen du projet de loi amendant et complétant la loi relative aux élections et référendums, mais les discussions ont trébuché en raison de différends entre les groupes parlementaires autour de certaines questions, dont la parité horizontale et l’octroi du droit de vote aux policiers et aux militaires lors des élections.
Avec l’avènement des vacances parlementaires (tout le mois d’août), l’ISIE se trouve dans l’obligation de repousser le calendrier électoral, y compris la date des élections municipales fixées pour le 26 mars 2017, a-t-il expliqué à l’agence TAP en marge d’une cérémonie organisée au palais du Bardo à l’occasion de la fête de la République.
Il a affirmé que “L’Instance s’est acquittée pleinement de son devoir et a expliqué le processus électoral à tous les intervenants pour appliquer strictement l’article 7 de la Constitution”.
”L’expérience nous a appris que l’on ne peut travailler en toute confiance en Tunisie sans publier la loi dans le Journal officiel de la République tunisienne (JORT)”; a-t-il ajouté.
L’Assemblée des représentants du peuple (ARP) avait entamé le 1er juin dernier l’examen du projet de loi amendant et complétant la loi relative aux élections et référendums, mais les discussions ont trébuché en raison de différends entre les groupes parlementaires autour de certaines questions, dont la parité horizontale et l’octroi du droit de vote aux policiers et aux militaires lors des élections.
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