La Société nationale d'exploitation et de distribution des eaux (SONEDE) a informé, samedi dernier, les hôteliers de la ville de Sousse des perturbations dans la distribution de l’eau potable.
Allant du 15 juillet jusqu’au 31 août, ces perturbations risquent fort de toucher le secteur du tourisme. De ce fait, les propriétaires des établissements hôteliers ont été appelés à veiller à ce que leur consommation journalière d’eau soit assurée via des bâches d’eau afin d’éviter tout problèmes.
Intervenant sur les ondes de la radio Jawhra FM, le directeur régional de la SONEDE à Sousse, Adel Belaïd, a expliqué que ces coupures d’eau potable risquent fort de se propager à d’autres régions à l’instar de Sfax, Mahdia ou encore Nabeul.
Selon Belaïd, ces perturbations surviennent à cause du manque de pluie survenu au cours de l’année 2016. Et d’ajouter que la SONEDE ne peut fournir aucune date quant à un possible retour de la distribution normale de l’eau potable.
Selon la radio Shems FM, et d’après l’une de ses sources, le réservoir d'eau potable de la ville d’Hammamet serait entièrement vide et la SONEDE serait en train de tenter de le remplir dans les plus brefs délais afin que le secteur touristique n’en soit pas atteint.
Dans un rapport publié en 2015, la World Resources Institute classe la Tunisie parmi les 33 pays les plus susceptibles de connaitre un stress hydrique (ou pénurie d'eau) d'ici 2040.
Selon le rapport, la Tunisie se classe parmi les pays qui ont un risque très élevé de manquer d'eau dans les décennies à venir pouvant perdre ainsi plus de 80% de ses ressources naturelles d'eau d'ici 2040.
L'UNESCO a quant à elle déjà tiré la sonnette d'alarme affirmant que la Tunisie souffrira de sérieux problèmes d'eau à l'horizon 2015.
En outre plusieurs associations tunisiennes ont appelé à revoir "la planification, la gestion rationnelle et la mise en valeur des ressources hydriques en Tunisie".
Allant du 15 juillet jusqu’au 31 août, ces perturbations risquent fort de toucher le secteur du tourisme. De ce fait, les propriétaires des établissements hôteliers ont été appelés à veiller à ce que leur consommation journalière d’eau soit assurée via des bâches d’eau afin d’éviter tout problèmes.
Intervenant sur les ondes de la radio Jawhra FM, le directeur régional de la SONEDE à Sousse, Adel Belaïd, a expliqué que ces coupures d’eau potable risquent fort de se propager à d’autres régions à l’instar de Sfax, Mahdia ou encore Nabeul.
Selon Belaïd, ces perturbations surviennent à cause du manque de pluie survenu au cours de l’année 2016. Et d’ajouter que la SONEDE ne peut fournir aucune date quant à un possible retour de la distribution normale de l’eau potable.
Selon la radio Shems FM, et d’après l’une de ses sources, le réservoir d'eau potable de la ville d’Hammamet serait entièrement vide et la SONEDE serait en train de tenter de le remplir dans les plus brefs délais afin que le secteur touristique n’en soit pas atteint.
Dans un rapport publié en 2015, la World Resources Institute classe la Tunisie parmi les 33 pays les plus susceptibles de connaitre un stress hydrique (ou pénurie d'eau) d'ici 2040.
Selon le rapport, la Tunisie se classe parmi les pays qui ont un risque très élevé de manquer d'eau dans les décennies à venir pouvant perdre ainsi plus de 80% de ses ressources naturelles d'eau d'ici 2040.
L'UNESCO a quant à elle déjà tiré la sonnette d'alarme affirmant que la Tunisie souffrira de sérieux problèmes d'eau à l'horizon 2015.
En outre plusieurs associations tunisiennes ont appelé à revoir "la planification, la gestion rationnelle et la mise en valeur des ressources hydriques en Tunisie".
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