TERRORISME - Un homme a été blessé par balle lors d'une attaque perpétrée par deux jihadistes dans une zone montagneuse du nord-ouest de la Tunisie, a indiqué le ministère de l'Intérieur.
Les "deux terroristes" ont tiré jeudi sur deux hommes à Oued Meliz, dans la région de Jendouba, avant de prendre la fuite, a indiqué le ministère dans un communiqué publié dans la nuit.
L'un des deux hommes a été blessé par balle au bras droit et hospitalisé, a précisé la même source, ajoutant que les forces de sécurité avaient lancé une opération pour traquer les assaillants dans les monts Bourbaj.
En novembre dernier, un berger de 17 ans avait été décapité par des jihadistes dans les monts Mghilla, près de Sidi Bouzid (centre-ouest), suscitant une vive émotion en Tunisie.
Les forces de sécurité et l'armée traquent depuis 2012 des groupes extrémistes armés retranchés dans les zones montagneuses du pays, notamment au mont Chaambi, dans la région de Kasserine (centre-ouest), considéré comme la principale base arrière du maquis jihadiste.
Depuis sa révolution de 2011, la Tunisie fait face à l'essor d'une mouvance jihadiste responsable de la mort de plus d'une centaine de soldats et de policiers. L'an dernier, trois attaques sanglantes revendiquées par le groupe Etat islamique (EI) ont fait 72 morts dont 59 touristes étrangers.
Le pays compte plusieurs milliers de ressortissants dans les rangs d'organisations extrémistes en Irak, en Syrie et en Libye.
Les "deux terroristes" ont tiré jeudi sur deux hommes à Oued Meliz, dans la région de Jendouba, avant de prendre la fuite, a indiqué le ministère dans un communiqué publié dans la nuit.
L'un des deux hommes a été blessé par balle au bras droit et hospitalisé, a précisé la même source, ajoutant que les forces de sécurité avaient lancé une opération pour traquer les assaillants dans les monts Bourbaj.
En novembre dernier, un berger de 17 ans avait été décapité par des jihadistes dans les monts Mghilla, près de Sidi Bouzid (centre-ouest), suscitant une vive émotion en Tunisie.
Les forces de sécurité et l'armée traquent depuis 2012 des groupes extrémistes armés retranchés dans les zones montagneuses du pays, notamment au mont Chaambi, dans la région de Kasserine (centre-ouest), considéré comme la principale base arrière du maquis jihadiste.
Depuis sa révolution de 2011, la Tunisie fait face à l'essor d'une mouvance jihadiste responsable de la mort de plus d'une centaine de soldats et de policiers. L'an dernier, trois attaques sanglantes revendiquées par le groupe Etat islamique (EI) ont fait 72 morts dont 59 touristes étrangers.
Le pays compte plusieurs milliers de ressortissants dans les rangs d'organisations extrémistes en Irak, en Syrie et en Libye.
Retrouvez les articles du HuffPost Tunisie sur notre page Facebook.