Beaucoup étaient venus parce qu’ils connaissaient déjà Fatoumata Diawara, grâce au film Timbuktu, mais ce n’était pas le cas de tout le monde. Les gradins n’étaient pas remplis, contrairement aux soirées précédentes.
Au début de la soirée, certains papotaient ensemble, quelques autres étaient plongés dans leurs smartphones.
Il n y avait pas la foule. Et pourtant Fatoumata Diawara a rempli le théâtre d’un air magique. Et deux chansons plus tard, elle avait déjà captivé la foule.
Un moment de paix
Elle chantait en wassoulou. Bien que les spectateurs ne connaissent pas la langue, ils arrivaient très bien à comprendre. Elle présentait chaque chanson par un discours de paix, de tolérance et d’amour. "Bravoooo!" pouvait-on entendre à chaque fois. On pouvait aussi tout comprendre, car sa voix laissait transparaitre une douceur triste, "entre les larmes et la joie", comme elle l’avait décrite lors de la conférence de presse.
Les pas maliens
"Allez, je vais vous apprendre les pas de mon village" et hop hop ! Fatou danse et tout le monde suivait en une synergie parfaite. "L'Afrique, c'est l'endroit où l'on s'amuse le plus au monde!" harangue t-elle la foule.
Fatou sur les gradins
Et arrivé le moment exceptionnel de la soirée, quand Fatou a voulu inviter les spectateurs sur scène, les agents de sécurité les ont repoussés, "Quoi? C’est interdit? Alors c’est moi qui y vais!".
Et la voilà parmi les spectateurs du festival international de Hammamet. Une Fatou qui sait toucher les cœurs mais qui sait aussi mettre de l’ambiance. Au cœur des gradins, elle s’est lâchée et a lâché dans son passage une vague de bonheur pour le plus grand plaisir des présents.
Au début de la soirée, certains papotaient ensemble, quelques autres étaient plongés dans leurs smartphones.
Il n y avait pas la foule. Et pourtant Fatoumata Diawara a rempli le théâtre d’un air magique. Et deux chansons plus tard, elle avait déjà captivé la foule.
Un moment de paix
Elle chantait en wassoulou. Bien que les spectateurs ne connaissent pas la langue, ils arrivaient très bien à comprendre. Elle présentait chaque chanson par un discours de paix, de tolérance et d’amour. "Bravoooo!" pouvait-on entendre à chaque fois. On pouvait aussi tout comprendre, car sa voix laissait transparaitre une douceur triste, "entre les larmes et la joie", comme elle l’avait décrite lors de la conférence de presse.
"Cette chanson je vais la dédier à tous les enfants de la planète. Quelque soit leurs couleurs, à l’intérieur on a tous le sang rouge, et notre différence fait la beauté de la planète… Cette richesse a toujours fait peur à l’humain… On veut l’amour, pas pour nous, mais pour les enfants. En tant que femme je vais être la voix de ces mômes qui regardent la télé, nous les adultes ça nous fait peur, imaginez les enfants à côté de nous, quel avenir on leur prépare? Alors encore une fois, je demande la paix mais surtout beaucoup beaucoup beaucoup d’amour, AMOUR ! AMOUR ! AMOUUUR !" s'exclama t-elle.
Les pas maliens
"Allez, je vais vous apprendre les pas de mon village" et hop hop ! Fatou danse et tout le monde suivait en une synergie parfaite. "L'Afrique, c'est l'endroit où l'on s'amuse le plus au monde!" harangue t-elle la foule.
Fatou sur les gradins
Et arrivé le moment exceptionnel de la soirée, quand Fatou a voulu inviter les spectateurs sur scène, les agents de sécurité les ont repoussés, "Quoi? C’est interdit? Alors c’est moi qui y vais!".
Et la voilà parmi les spectateurs du festival international de Hammamet. Une Fatou qui sait toucher les cœurs mais qui sait aussi mettre de l’ambiance. Au cœur des gradins, elle s’est lâchée et a lâché dans son passage une vague de bonheur pour le plus grand plaisir des présents.
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