POLITIQUE - La question de l'islam est bien souvent un sujet glissant pour les responsables politiques. Depuis la mi-juillet et les deux attentats de Nice et Saint-Etienne-du-Rouvray, le thème est redevenu l'un des plus discutés et l'un sur lesquels on interroge le plus les personnalités. Le financement extérieur agite tous les camps, mais il y a des élus qui voient les choses plus globalement.
Certains n'hésitent pas à aller très loin dans la caricature, comme Nadine Morano, ce lundi 1er août sur RMC. Si l'essentiel de son discours est celui tenu par la droite de son parti, elle n'hésite pas à aller plus loin, via des sorties que l'on pourrait qualifier de dérapages si elles n'étaient pas aussi fréquentes: "il y a une invasion massive arabo-musulmane", a-t-elle carrément affirmé.
L'eurodéputée Les Républicains est en chasse des parrainages pour la primaire de novembre. Et ce n'est visiblement pas vers le centre qu'elle a décidé de se tourner pour les récupérer. Adepte des coups d'éclat verbaux qui sont, dit-elle, en phase avec l'opinion de droite, Nadine Morano compte sur son "parler-vrai" pour avoir les signature indispensables pour participer à la compétition interne.
Certains n'hésitent pas à aller très loin dans la caricature, comme Nadine Morano, ce lundi 1er août sur RMC. Si l'essentiel de son discours est celui tenu par la droite de son parti, elle n'hésite pas à aller plus loin, via des sorties que l'on pourrait qualifier de dérapages si elles n'étaient pas aussi fréquentes: "il y a une invasion massive arabo-musulmane", a-t-elle carrément affirmé.
"Il y a une invasion massive arabo-musulmane (...) Je ne veux pas que la France devienne musulmane" déclare @nadine__morano #BourdinDirect
— RMC (@RMCinfo) 1 août 2016
L'eurodéputée Les Républicains est en chasse des parrainages pour la primaire de novembre. Et ce n'est visiblement pas vers le centre qu'elle a décidé de se tourner pour les récupérer. Adepte des coups d'éclat verbaux qui sont, dit-elle, en phase avec l'opinion de droite, Nadine Morano compte sur son "parler-vrai" pour avoir les signature indispensables pour participer à la compétition interne.
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