Le successeur d’Habib Essid a reçu des représentants de quelques partis politiques et des personnalités nationales au cours de la matinée de ce jeudi 4 août 2016 à Dar Dhiafa à Carthage. A l’issue de ces rencontres, plusieurs acteurs politiques ont donné des déclarations médiatiques annonçant leur position officielle.
Dans une déclaration accordée à la radio Shems FM, le secrétaire-général d’Al Massar, Samir Taïeb, a annoncé que son parti s’est retiré des négociations de la formation du prochain gouvernement. Taïeb a expliqué que la situation exceptionnelle du pays demandait qu’une personnalité politique indépendante soit chargée de former le gouvernement d’union nationale.
Dans le même ordre d’idées, les partis d’Al Jomhouri et le Mouvement Achaâb, ont annoncé, au cours d’une conférence de presse plus tôt dans la journée, avoir pris la décision de se retirer des pourparlers de la formation du prochain gouvernement. Considérant que Youssef Chahed n’est pas l’homme de la situation, les deux partis ont considéré qu’il aurait été préférable que l’on nomme une personnalité indépendante pour succéder à Essid.
Ahmed Néjib Chebbi, ancien dirigeant d’Al Jomhouri, a, pour sa part, adopté une toute autre attitude; après avoir rencontré Youssef Chahed, Néjib Chebbi a été assez positif quant aux prochaines étapes de la formation du gouvernement d’union nationale. Dans une intervention radiophonique, il a expliqué que le gouvernement de Chahed aura pour principale priorité de rétablir la confiance entre l’opinion publique et le pouvoir.
Pour le président d’Al Moubadara, Kamel Morjane, la désignation de Youssef Chahed au poste de chef du gouvernement est un point positif. L’intéressé a même annoncé que son parti proposera des noms pour les différents portefeuilles ministériels.
Intervenant sur les ondes de la radio Express FM, la porte-parole de l’Union patriotique libre (UPL), Samira Chaouachi, a expliqué que son parti estime que la nomination de Youssef Chahed est une décision révolutionnaire vu qu’il est le plus jeune chef de gouvernement de l’Histoire de la Tunisie. Et d’ajouter que l’UPL n’émet aucune objection à ce qu’une personnalité partisane soit à ce poste tant que tous les participants aux concertations de Carthage s’entendent sur le sujet.
Selon elle, Slim Riahi, président du parti,"est prêt à abandonner tous les portefeuilles ministériels pour récuperer le ministère de la bonne gouvernance et la lutte contre la corruption" affirmant que pour son parti il s'agit de la principale préoccupation actuellement.
Dans une déclaration accordée à la radio Shems FM, le secrétaire-général d’Al Massar, Samir Taïeb, a annoncé que son parti s’est retiré des négociations de la formation du prochain gouvernement. Taïeb a expliqué que la situation exceptionnelle du pays demandait qu’une personnalité politique indépendante soit chargée de former le gouvernement d’union nationale.
Dans le même ordre d’idées, les partis d’Al Jomhouri et le Mouvement Achaâb, ont annoncé, au cours d’une conférence de presse plus tôt dans la journée, avoir pris la décision de se retirer des pourparlers de la formation du prochain gouvernement. Considérant que Youssef Chahed n’est pas l’homme de la situation, les deux partis ont considéré qu’il aurait été préférable que l’on nomme une personnalité indépendante pour succéder à Essid.
Ahmed Néjib Chebbi, ancien dirigeant d’Al Jomhouri, a, pour sa part, adopté une toute autre attitude; après avoir rencontré Youssef Chahed, Néjib Chebbi a été assez positif quant aux prochaines étapes de la formation du gouvernement d’union nationale. Dans une intervention radiophonique, il a expliqué que le gouvernement de Chahed aura pour principale priorité de rétablir la confiance entre l’opinion publique et le pouvoir.
Pour le président d’Al Moubadara, Kamel Morjane, la désignation de Youssef Chahed au poste de chef du gouvernement est un point positif. L’intéressé a même annoncé que son parti proposera des noms pour les différents portefeuilles ministériels.
Intervenant sur les ondes de la radio Express FM, la porte-parole de l’Union patriotique libre (UPL), Samira Chaouachi, a expliqué que son parti estime que la nomination de Youssef Chahed est une décision révolutionnaire vu qu’il est le plus jeune chef de gouvernement de l’Histoire de la Tunisie. Et d’ajouter que l’UPL n’émet aucune objection à ce qu’une personnalité partisane soit à ce poste tant que tous les participants aux concertations de Carthage s’entendent sur le sujet.
Selon elle, Slim Riahi, président du parti,"est prêt à abandonner tous les portefeuilles ministériels pour récuperer le ministère de la bonne gouvernance et la lutte contre la corruption" affirmant que pour son parti il s'agit de la principale préoccupation actuellement.
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