Membre de l'Association Tunisienne d'Action Culturelle ATAC, Anas Kaddoussi, qui allait représenter l'espace culturel "Mandela" de l'association à Sidi Bouzid, lors d'un forum à Rio De Janeiro, qui va avoir lieu tout au long de la semaine prochaine a été empêché par les autorités de prendre son vol.
Il devait donc prendre l'avion, dimanche, 7 août, pour Rio de Janeiro, au Brésil, afin d'assister à un forum culturel autour des réseaux culturels dans le monde et leur contribution dans le combat contre la violence et la marginalisation.
Un agent à l'aéroport international de Tunis-Carthage l'empêche de prendre son avion, pour nulle raison.
Il avait toutes les justifications nécessaires pour son voyage, notamment des documents de la part de grandes organisations internationales. De plus, le Brésil est un pays qui ne nécessite pas de visa pour les Tunisiens.
Anas Kaddoussi avait annoncé dimanche cet incident à travers un statut sur sa page Facebook:
![anas kaddoussi]()
L'ATAC a également publié un article sur son site contestant cette interdiction.
![atac]()
Il devait donc prendre l'avion, dimanche, 7 août, pour Rio de Janeiro, au Brésil, afin d'assister à un forum culturel autour des réseaux culturels dans le monde et leur contribution dans le combat contre la violence et la marginalisation.
Un agent à l'aéroport international de Tunis-Carthage l'empêche de prendre son avion, pour nulle raison.
Il avait toutes les justifications nécessaires pour son voyage, notamment des documents de la part de grandes organisations internationales. De plus, le Brésil est un pays qui ne nécessite pas de visa pour les Tunisiens.
Contacté par le HuffPost Tunisie, Anas Kaddoussi s'était exprimé sur cet incident "J'étais vraiment déçu par le comportement de l'officier. Mais bon ces choses ne doivent pas nous accabler les militants de la société civile et les jeunes qui veulent changer les choses. Et que la lutte continue pour une belle Tunisie".
Anas Kaddoussi avait annoncé dimanche cet incident à travers un statut sur sa page Facebook:
L'ATAC a également publié un article sur son site contestant cette interdiction.
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