Une retraite au soleil est le rêve de beaucoup de couples qui ont travaillé dur durant leur jeunesse. Pour Bernadette et Yvon, le rêve s’est transformé en véritable cauchemar a rapporté la presse française.
Alors qu’ils comptaient s’installer dans le sud tunisien, le vieux couple est tombé entre les mains de malfaiteurs qui n'ont pas hésité à les escroquer et menacer à maintes reprises.
Tombé amoureux de Zarzis, après un voyage en 2008. Yvon Bisiaux décide de s’associer à Tommy Rhiad, un chauffeur de taxi qu’il a rencontré lors de son voyage en famille. Il décide d’acheter un terrain dans la région.
Yvon Bisiaux, chef d'entreprise pendant trente ans, ancien gérant des magasins "Géant du carrelage" à Pamiers et Saint-Girons, a cru bien faire en investissant dans l'importation de céramique.
"Il n'y avait personne sur le marché de la céramique d'importation. Et donc une place à prendre" affirme t-il au site la dépêche.fr.
Yvon Bisiaux commande quatre containers de céramique en Italie et en Espagne en juin 2014 sauf que ces derniers sont "bloqués en douanes, alors que les droits d'importation avaient été réglés" souligne t-il.
Pas de chance, le couple découvre plus tard que le terrain acheté à Zarzis avait été revendu à moitié prix en son absence et c’est le chauffeur qui a pris l’argent.
Les relations entre Yvon Bisiaux et son ancien associé n’étaient pas au top, ce dernier lui réclamait trente mois d'arriéré de salaire, pour lui et son épouse, alors qu'ils n'ont jamais été salariés de Zarzis Export, la société créée pour la commercialisation de la céramique d'importation.
"J'ai évidemment refusé", s'indigne Yvon Bisiaux. "Tommy Rhiad était payé pour tous ses déplacements. Et son épouse n'était qu'un prête-nom" a t-il rajouté.
Les tentatives d'intimidation démarrent de là. En même temps que les détournements dénoncés par Yvon Bisiaux auprès du gouverneur de Médenine, comme si les unes répondaient aux autres.
"Ils nous ont fait énormément de mal. Ils nous ont ruinés. Ils nous font vivre un cauchemar. C'est comme un mauvais roman noir. Aujourd'hui, nous avons vraiment besoin de soutien" a déclaré Bernadette. Et son mari d'ajouter: "C'est comme ça que certains procèdent dans le sud de la Tunisie. Ils multiplient les manœuvres d'intimidation pour obliger les investisseurs à partir en laissant tout derrière eux".
Le couple, victime de plusieurs tentatives d’intimidation et de plaintes sans fondements, n'espère plus qu'une chose: récupérer l’argent perdu. Toutefois, ils commencent à désespérer de la justice tunisienne. Et leurs courriers répétés aux autorités restent, selon eux, sans réponse.
Alors qu’ils comptaient s’installer dans le sud tunisien, le vieux couple est tombé entre les mains de malfaiteurs qui n'ont pas hésité à les escroquer et menacer à maintes reprises.
Tombé amoureux de Zarzis, après un voyage en 2008. Yvon Bisiaux décide de s’associer à Tommy Rhiad, un chauffeur de taxi qu’il a rencontré lors de son voyage en famille. Il décide d’acheter un terrain dans la région.
Yvon Bisiaux, chef d'entreprise pendant trente ans, ancien gérant des magasins "Géant du carrelage" à Pamiers et Saint-Girons, a cru bien faire en investissant dans l'importation de céramique.
"Il n'y avait personne sur le marché de la céramique d'importation. Et donc une place à prendre" affirme t-il au site la dépêche.fr.
Yvon Bisiaux commande quatre containers de céramique en Italie et en Espagne en juin 2014 sauf que ces derniers sont "bloqués en douanes, alors que les droits d'importation avaient été réglés" souligne t-il.
Pas de chance, le couple découvre plus tard que le terrain acheté à Zarzis avait été revendu à moitié prix en son absence et c’est le chauffeur qui a pris l’argent.
Les relations entre Yvon Bisiaux et son ancien associé n’étaient pas au top, ce dernier lui réclamait trente mois d'arriéré de salaire, pour lui et son épouse, alors qu'ils n'ont jamais été salariés de Zarzis Export, la société créée pour la commercialisation de la céramique d'importation.
"J'ai évidemment refusé", s'indigne Yvon Bisiaux. "Tommy Rhiad était payé pour tous ses déplacements. Et son épouse n'était qu'un prête-nom" a t-il rajouté.
Les tentatives d'intimidation démarrent de là. En même temps que les détournements dénoncés par Yvon Bisiaux auprès du gouverneur de Médenine, comme si les unes répondaient aux autres.
"Ils nous ont fait énormément de mal. Ils nous ont ruinés. Ils nous font vivre un cauchemar. C'est comme un mauvais roman noir. Aujourd'hui, nous avons vraiment besoin de soutien" a déclaré Bernadette. Et son mari d'ajouter: "C'est comme ça que certains procèdent dans le sud de la Tunisie. Ils multiplient les manœuvres d'intimidation pour obliger les investisseurs à partir en laissant tout derrière eux".
Le couple, victime de plusieurs tentatives d’intimidation et de plaintes sans fondements, n'espère plus qu'une chose: récupérer l’argent perdu. Toutefois, ils commencent à désespérer de la justice tunisienne. Et leurs courriers répétés aux autorités restent, selon eux, sans réponse.
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