Invité de la radio nationale, le porte-parole du Front populaire, Hamma Hammami, a estimé que la manière avec laquelle Youssef Chahed a été nommé au poste de chef du gouvernement est affligeante pour le peuple tunisien.
Pour Hammami, le passage en force effectué du président de la République – qui a nommé Chahed sans consulter personne selon le concerné – a mis toutes les parties participantes aux concertations de Carthage devant le fait accompli. Et d’ajouter que le Front populaire savait, bien avant l’annonce de l’initiative présidentielle, que Youssef Chahed allait succéder à Habib Essid.
Hamma Hammami a assuré que le successeur d’Essid fait d’ailleurs partie du cercle restreint du chef de l’État ce qui expliquerait sa désignation.
A la question de savoir si le Front populaire allait soutenir, malgré tout, le nouveau gouvernement, Hamma Hammami a expliqué que ce soutien n’aura pas lieu d’être si jamais le Front Populaire estime que la nouvelle formation ministérielle n’investit pas assez d’effort dans la lutte contre la corruption. Et d’ajouter que son parti dispose d’une réelle stratégie pour mettre fin à la corruption devenue omniprésente dans le quotidien des Tunisiens.
Rappelons que dans un communiqué daté du 9 août, le Front populaire a officiellement décliné l’invitation de Youssef Chahed pour une rencontre avec une délégation du parti.
Les dirigeants du Front ont expliqué, dans le même document, que leur parti a refusé de prendre part aux concertations, de signer le pacte de Carthage et de bénir le processus de désignation de Youssef Chahed. De ce fait, le Front populaire ne pourra pas faire partie des partis politiques avec lesquels Chahed pourra s’entretenir sur le sort de sa nouvelle équipe.
A ce sujet, et lors du même passage radiophonique, Hamma Hammami a indiqué qu’il ne s’agit pas là d’un nouveau "non" de la part du Front qui refuse, selon lui, de s’inscrire dans la logique et la politique de la corruption mais qu’il serait tout oui pour collaborer à la mise en place d’un système de réforme contre toutes ces méthodes.
Pour Hammami, le passage en force effectué du président de la République – qui a nommé Chahed sans consulter personne selon le concerné – a mis toutes les parties participantes aux concertations de Carthage devant le fait accompli. Et d’ajouter que le Front populaire savait, bien avant l’annonce de l’initiative présidentielle, que Youssef Chahed allait succéder à Habib Essid.
Hamma Hammami a assuré que le successeur d’Essid fait d’ailleurs partie du cercle restreint du chef de l’État ce qui expliquerait sa désignation.
A la question de savoir si le Front populaire allait soutenir, malgré tout, le nouveau gouvernement, Hamma Hammami a expliqué que ce soutien n’aura pas lieu d’être si jamais le Front Populaire estime que la nouvelle formation ministérielle n’investit pas assez d’effort dans la lutte contre la corruption. Et d’ajouter que son parti dispose d’une réelle stratégie pour mettre fin à la corruption devenue omniprésente dans le quotidien des Tunisiens.
Rappelons que dans un communiqué daté du 9 août, le Front populaire a officiellement décliné l’invitation de Youssef Chahed pour une rencontre avec une délégation du parti.
Les dirigeants du Front ont expliqué, dans le même document, que leur parti a refusé de prendre part aux concertations, de signer le pacte de Carthage et de bénir le processus de désignation de Youssef Chahed. De ce fait, le Front populaire ne pourra pas faire partie des partis politiques avec lesquels Chahed pourra s’entretenir sur le sort de sa nouvelle équipe.
A ce sujet, et lors du même passage radiophonique, Hamma Hammami a indiqué qu’il ne s’agit pas là d’un nouveau "non" de la part du Front qui refuse, selon lui, de s’inscrire dans la logique et la politique de la corruption mais qu’il serait tout oui pour collaborer à la mise en place d’un système de réforme contre toutes ces méthodes.
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