Le ministère de l'Enseignement Supérieur a publié sur son site, avant de le retirer, la liste des universitaires qui feront parti des commissions de recrutement pour l' années 2016.
Or, un nom dans la liste de la commission de recrutement des assistants en langue, poésie et civilisation française, créé de nombreux remous. Il s'agit de celui d'Elyes Ennaifer, décédé depuis plusieurs années, en tant que représentant de Institut Supérieur des Langues de Gabès.
Selon un de ces anciens collègues, Salah Degani, la présence du nom d'Elyes Ennaifer laisse interrogateur: "C'est de l'amateurisme poussé à l'extrême? c'est fait exprès? Est-ce qu'il y a plus bas et plus 'dangereux' que ce stade-là?" se questionne t-il.
Contacté par le HuffPost Tunisie, le ministère de l'Enseignement Supérieur ne semble pas avoir d'explications: "Il s'agit peut-être d'un homonyme" répond le ministère.
Un des professeurs dont le nom figure parmi les universitaires retenus pour être dans une des commissions de recrutement, indique sous couvert d'anonymat au HuffPost Tunisie: "Ces listes ne sont certainement pas mises à jour. Je siège personnellement depuis 3 ans à une de ces commissions, et je peux vous dire que cela arrive souvent. Je peux même vous dire que dans la liste présentée cette année, plusieurs personnes n'étaient même pas au courant qu'ils font parti de ces commissions".
Négligence? "probablement" affirme notre interlocuteur: "Quel serait le bénéfice pour le ministère d'avoir une personne morte dans une commission de recrutement? Aucun" conclut-il.
Or, un nom dans la liste de la commission de recrutement des assistants en langue, poésie et civilisation française, créé de nombreux remous. Il s'agit de celui d'Elyes Ennaifer, décédé depuis plusieurs années, en tant que représentant de Institut Supérieur des Langues de Gabès.
Selon un de ces anciens collègues, Salah Degani, la présence du nom d'Elyes Ennaifer laisse interrogateur: "C'est de l'amateurisme poussé à l'extrême? c'est fait exprès? Est-ce qu'il y a plus bas et plus 'dangereux' que ce stade-là?" se questionne t-il.
Contacté par le HuffPost Tunisie, le ministère de l'Enseignement Supérieur ne semble pas avoir d'explications: "Il s'agit peut-être d'un homonyme" répond le ministère.
Un des professeurs dont le nom figure parmi les universitaires retenus pour être dans une des commissions de recrutement, indique sous couvert d'anonymat au HuffPost Tunisie: "Ces listes ne sont certainement pas mises à jour. Je siège personnellement depuis 3 ans à une de ces commissions, et je peux vous dire que cela arrive souvent. Je peux même vous dire que dans la liste présentée cette année, plusieurs personnes n'étaient même pas au courant qu'ils font parti de ces commissions".
Négligence? "probablement" affirme notre interlocuteur: "Quel serait le bénéfice pour le ministère d'avoir une personne morte dans une commission de recrutement? Aucun" conclut-il.
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