FIKAK 2016- Le festival International du film amateur de Kélibia est n'est pas seulement un festival de cinéma. Ce le qui caractérise c'est son mode de vie particulier rythmé par une ambiance particulière aussi enivré que joviale.
Beaucoup de films, de musique, de fêtes interminables nuit et jour. Cette "anarchie" enjouée rime avec beaucoup d'amour pour l'art, sous toutes ses formes. Un amour aussi fougueux, brouillon, qu'innocent.
Une immaturité compréhensive pour un festival de cinéma amateur mais non dénuée de perfectionnisme, du moins de la volonté palpable de l'atteindre.
En effet, si certains films sont médiocres, d'autres sont prometteurs, esquisse des problématiques réelles. Mais au-delà des films, ce qui est marquant dans ce festival c'est la dynamique, l'engagement et l'enthousiasme habituel des jeunes, ceux des ciné-clubs de toutes les régions de la Tunisie, des festivaliers, qui se manifestent notamment lors des ateliers de débats, où encore les masters-class consacrés à des thèmes variés tels que "le rôle de l'art citoyen dans la mouvance sociale", "réfléchir les images de la prison", "le corps"...
Atelier "Histoires Kélibiennes"
Le même engouement existe pour l'art photographique, un pilier incontournable du festival.
Idem pour les évènements musicaux avec trois concerts qui ont eu lieu, ceux du groupe Banda, du groupe Sarab ou encore du concert Stambeli, Mezoued, sans oublier celui de Yasser Jrad, qui ont enjoué le public du Fifak.
Groupe Banda
Groupe Sarab
Une ambiance unique
Des acteurs, cinéastes, tunisiens et étrangers, des chanteurs, des journalistes, des festivaliers…s'entremêlent dans une ambiance singulière, le temps d'une semaine, portés par l'air de Kélibia, sa mer, son port, ses festivités malgré les conditions de séjour difficile pour certains avec les longues coupures d'eau notamment, la désorganisation, les retards, la présence parfois, d'intrus dont la seule motivation est de semer le désordre, un public parfois indiscipliné. Malgré tout, ces couacs ne prennent pas d'ampleur; une certaine légèreté prime dans une ambiance bon enfant.
After Projection
Une ambiance qui rejaillit sur toute la ville de Kéliblia, créant un dynamisme à la fois humain mais surtout économique.
Beaucoup de films, de musique, de fêtes interminables nuit et jour. Cette "anarchie" enjouée rime avec beaucoup d'amour pour l'art, sous toutes ses formes. Un amour aussi fougueux, brouillon, qu'innocent.
Une immaturité compréhensive pour un festival de cinéma amateur mais non dénuée de perfectionnisme, du moins de la volonté palpable de l'atteindre.
En effet, si certains films sont médiocres, d'autres sont prometteurs, esquisse des problématiques réelles. Mais au-delà des films, ce qui est marquant dans ce festival c'est la dynamique, l'engagement et l'enthousiasme habituel des jeunes, ceux des ciné-clubs de toutes les régions de la Tunisie, des festivaliers, qui se manifestent notamment lors des ateliers de débats, où encore les masters-class consacrés à des thèmes variés tels que "le rôle de l'art citoyen dans la mouvance sociale", "réfléchir les images de la prison", "le corps"...
Le même engouement existe pour l'art photographique, un pilier incontournable du festival.
LIRE AUSSI: FIFAK 2016: Des photos d'amateurs tunisiens en compétition spéciale (PHOTOS)
Idem pour les évènements musicaux avec trois concerts qui ont eu lieu, ceux du groupe Banda, du groupe Sarab ou encore du concert Stambeli, Mezoued, sans oublier celui de Yasser Jrad, qui ont enjoué le public du Fifak.
Une ambiance unique
Des acteurs, cinéastes, tunisiens et étrangers, des chanteurs, des journalistes, des festivaliers…s'entremêlent dans une ambiance singulière, le temps d'une semaine, portés par l'air de Kélibia, sa mer, son port, ses festivités malgré les conditions de séjour difficile pour certains avec les longues coupures d'eau notamment, la désorganisation, les retards, la présence parfois, d'intrus dont la seule motivation est de semer le désordre, un public parfois indiscipliné. Malgré tout, ces couacs ne prennent pas d'ampleur; une certaine légèreté prime dans une ambiance bon enfant.
Une ambiance qui rejaillit sur toute la ville de Kéliblia, créant un dynamisme à la fois humain mais surtout économique.
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