En début de semaine, le secrétaire-général adjoint de l’Union générale des travailleurs tunisiens (UGTT), Sami Tahri, a tiré à boulets rouges sur le ministre de la Santé publique, Saïd Aïdi. Intervenant sur les ondes de la radio Shems FM, Sami Tahri est en effet revenu sur le bilan de Saïd Aïdi qu’il estime être catastrophique. Le secrétaire-général adjoint de la centrale syndicale a même exprimé son étonnement du fait qu’Aïdi n’ait pas présenté sa démission en dépit de tous les scandales survenus au cours de son mandat.
Quelques jours après cette intervention, le ministre y a répondu par un post publié sur sa page officielle Facebook: "Catastrophe? Effectivement, je suis une catastrophe. Une catastrophe pour ceux qui, telles des sangsues, se nourrissent sur le dos de la santé publique et du peuple!"
Intervenant, au cours de cette journée, sur les ondes de la même radio, Saïd Aïdi a refusé de revenir au propos de Sami Tahri parce que, pour lui, ces propos "ne sont dignes de personnes". Le ministre de la Santé a assuré qu’il a toujours entretenu des relations correctes avec la centrale syndicale, et notamment avec son secrétaire-général, Houcine Abassi, et qu’il refuse de dépasser les limites du respect.
Revenant à la polémique des anesthésiants périmés le ministre de la Santé a assuré que cette histoire, qui remonte à la fin de l’année 2014, n’est pas fondée tout en appelant les Tunisiens à être confiant tout en leur rappelant que le staff médical et paramédical est une fierté pour la Tunisie. Et d’ajouter que la santé du citoyen est une ligne rouge que personne ne peut se permettre de franchir.
Questionné sur l’affaire de la société "Saiph", Saïd Aïdi a assuré que ce dossier a été correctement traité par son ministère contre qui il serait lui-même prêt à porter plainte si jamais le contraire venait à se confirmer. Pour Aïdi, le Président directeur-général de ‘Saiph’ aurait dû se tourner vers la Justice au lieu d’organiser une conférence de presse et de fausser les informations auprès de l’opinion publique. Aïdi a toutefois assuré que la société en question ne verra pas sa licence lui être retirée.
Rappelons que suite à la campagne de dénigrement qui vise le ministre de la Santé publique, le bloc parlementaire de Nidaa Tounes a adressé une lettre ouverte à l’adresse du nouveau chef du gouvernement, Youssef Chahed, pour qu’il renouvelle la confiance à Aïdi. Selon un post publié par Leila Chettaoui, reconduire Saïd Aïdi revient à lui permettre de concrétiser les promesses électorales de Nidaa Tounes.
Quelques jours après cette intervention, le ministre y a répondu par un post publié sur sa page officielle Facebook: "Catastrophe? Effectivement, je suis une catastrophe. Une catastrophe pour ceux qui, telles des sangsues, se nourrissent sur le dos de la santé publique et du peuple!"
Intervenant, au cours de cette journée, sur les ondes de la même radio, Saïd Aïdi a refusé de revenir au propos de Sami Tahri parce que, pour lui, ces propos "ne sont dignes de personnes". Le ministre de la Santé a assuré qu’il a toujours entretenu des relations correctes avec la centrale syndicale, et notamment avec son secrétaire-général, Houcine Abassi, et qu’il refuse de dépasser les limites du respect.
Revenant à la polémique des anesthésiants périmés le ministre de la Santé a assuré que cette histoire, qui remonte à la fin de l’année 2014, n’est pas fondée tout en appelant les Tunisiens à être confiant tout en leur rappelant que le staff médical et paramédical est une fierté pour la Tunisie. Et d’ajouter que la santé du citoyen est une ligne rouge que personne ne peut se permettre de franchir.
Questionné sur l’affaire de la société "Saiph", Saïd Aïdi a assuré que ce dossier a été correctement traité par son ministère contre qui il serait lui-même prêt à porter plainte si jamais le contraire venait à se confirmer. Pour Aïdi, le Président directeur-général de ‘Saiph’ aurait dû se tourner vers la Justice au lieu d’organiser une conférence de presse et de fausser les informations auprès de l’opinion publique. Aïdi a toutefois assuré que la société en question ne verra pas sa licence lui être retirée.
Rappelons que suite à la campagne de dénigrement qui vise le ministre de la Santé publique, le bloc parlementaire de Nidaa Tounes a adressé une lettre ouverte à l’adresse du nouveau chef du gouvernement, Youssef Chahed, pour qu’il renouvelle la confiance à Aïdi. Selon un post publié par Leila Chettaoui, reconduire Saïd Aïdi revient à lui permettre de concrétiser les promesses électorales de Nidaa Tounes.
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