C'est "Zulu Rema" du réalisateur tunisien Haithem Sakouhi qui a remporté le Prix du Jury Digital du "Mobile Film Festival." La nouvelle a été dévoilée mardi lors de la clôture de la 13ème édition du festival qui récompense cette année encore, des réalisateurs lauréats qui racontent une histoire en une minute.
Avec 1055 films reçus originaires de 88 pays et avec plus de 10 millions de vues dans le monde entier, ce festival français de courts-métrages tournés avec un téléphone mobile, prend une nouvelle allure internationale. En tout, 7 films ont séduit le jury présidé par le réalisateur Patrice Leconte. Ces derniers portent sur les questions des migrants, du genre, des peurs nocturnes, de la fraternité, du harcèlement et de la valeur des choses dans les yeux d’un enfant.
En effet, "Zulu Rema" dessine le portrait d'Emer Guesmi, un danseur tunisien hors du commun. Accidentellement privé de l'usage de ses jambes, Emer a réussi à s'imposer à l'âge de 16 ans comme un véritable prodige dans l'art du breakdance. Le travail acharné qui rythme sa jeune carrière est déjà une belle leçon de vie qui a ému le monde entier.
Avec le très court-métrage "Zulu Rema", fraichement réalisé en décembre dernier, Haithem Sakouhi signe un "hymne à l'espoir" saluant le parcours de ce héros des temps modernes. Jeune diplômé en réalisation Haithem a déjà deux films à son actif, le documentaire amateur Sans destin (2016) et le film indépendant 1999 (2017), qui a reçu plusieurs distinctions nationales dont une nomination dans la section "cinépromesse" des JCC.
"C'est ma première participation au Mobile Film Festival et je connais Emer depuis 6 mois, je l'ai vu au cours d'une soirée hip-hop. On est devenus rapidement amis, l'idée de faire un film sur lui a commencé progressivement à prendre forme", explique Haithem Sakouhi au HuffPost Tunisie. "Le choix d'Emer ne se basait pas seulement sur ses capacités de danseur mais sur ses aptitudes à voir la vie sous un nouvel angle, faire de l'infirmité un point fort dans sa carrière et dans sa vie".
Depuis 13 ans, l'événement donne la chance à des jeunes du monde entier de réaliser librement un film, sur le sujet de leur choix, sans aucune contrainte budgétaire ni technique.
Avec 1055 films reçus originaires de 88 pays et avec plus de 10 millions de vues dans le monde entier, ce festival français de courts-métrages tournés avec un téléphone mobile, prend une nouvelle allure internationale. En tout, 7 films ont séduit le jury présidé par le réalisateur Patrice Leconte. Ces derniers portent sur les questions des migrants, du genre, des peurs nocturnes, de la fraternité, du harcèlement et de la valeur des choses dans les yeux d’un enfant.
En effet, "Zulu Rema" dessine le portrait d'Emer Guesmi, un danseur tunisien hors du commun. Accidentellement privé de l'usage de ses jambes, Emer a réussi à s'imposer à l'âge de 16 ans comme un véritable prodige dans l'art du breakdance. Le travail acharné qui rythme sa jeune carrière est déjà une belle leçon de vie qui a ému le monde entier.
Avec le très court-métrage "Zulu Rema", fraichement réalisé en décembre dernier, Haithem Sakouhi signe un "hymne à l'espoir" saluant le parcours de ce héros des temps modernes. Jeune diplômé en réalisation Haithem a déjà deux films à son actif, le documentaire amateur Sans destin (2016) et le film indépendant 1999 (2017), qui a reçu plusieurs distinctions nationales dont une nomination dans la section "cinépromesse" des JCC.
"C'est ma première participation au Mobile Film Festival et je connais Emer depuis 6 mois, je l'ai vu au cours d'une soirée hip-hop. On est devenus rapidement amis, l'idée de faire un film sur lui a commencé progressivement à prendre forme", explique Haithem Sakouhi au HuffPost Tunisie. "Le choix d'Emer ne se basait pas seulement sur ses capacités de danseur mais sur ses aptitudes à voir la vie sous un nouvel angle, faire de l'infirmité un point fort dans sa carrière et dans sa vie".
Depuis 13 ans, l'événement donne la chance à des jeunes du monde entier de réaliser librement un film, sur le sujet de leur choix, sans aucune contrainte budgétaire ni technique.
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