ÉCONOMIE- La Tunisie participe au Forum économique afro-américain à la suite d'une invitation adressée par le président Obama à son homologue tunisien pour assister à cette rencontre en tant qu'invité d'honneur. L'événement a démarré jeudi 21 septembre avec la participation de 35 chefs d'Etat et 200 entreprises américaines.
La Tunisie est un partenaire prioritaire des USA
Il a, en outre, estimé que la participation tunisienne au forum économique afro-américain est un message qui témoigne de la détermination de la Tunisie à engager les réformes nécessaires afin de drainer l'investissement et de renforcer ses relations économiques avec les Etats-Unis.
S'agissant de la participation des USA à la conférence internationale sur l'investissement prévue en Tunisie les 29 et 30 novembre 2016, le responsable américain a confirmé la présence de son pays à cette manifestation promouvoir la coopération tuniso-américaine.
A cet égard, il a expliqué que le forum de New York est l'occasion pour les pays africains en général et pour la Tunisie en particulier de débattre avec l'administration américaine des conditions de création de nouveaux modèles de coopération dans les secteurs des finances et de l'investissement.
Dans ce même contexte, il a mis l'accent sur l'importance du rôle du secteur privé dans l'impulsion de l'économie partout dans le monde.
Christine Lagarde salue l'adoption du Code d'Investissement
Béji Caïd Essebsi a échangé dans ce cadre avec Christine Lagarde, directrice du Fonds monétaire international (FMI) qui a salué l'adoption par l'Assemblée des Représentants du Peuple de la nouvelle loi sur l'investissement.
Dans une déclaration faite à l'issue de sa rencontre avec le président de la république Béji Caid Essebsi, elle a exprimé sa satisfaction quant à l'adoption de cette loi et renouvelé le soutien du FMI à la Tunisie.
La rencontre du chef de l'Etat avec Lagarde s'est déroulée en présence du ministre tunisien du Développement, de l'Investissement et de la Coopération internationale et de responsables au sein du FMI.
Les conditions d'Obama pour aider les pays africains
Pour ce faire, il est impératif que les gouvernements des pays africains observent le principe de la transparence, luttent contre la corruption, bannissent le clientélisme et œuvrent pour le progrès du citoyen, a-t-il expliqué.
Le président américain a ensuite parlé de tous les maux du continent qui le plongent davantage dans le marasme économique, appelant les promoteurs parmi les participants à investir en Afrique et à développer le partenariat Afrique-USA.
Depuis 8 ans, les USA ont mis ce partenariat sur la voie et développé les relations économiques avec le concours de la Banque africaine de Développement (BAD), a précisé Obama, qui a rappelé qu'il est le seul président américain à avoir effectué 4 visites dans le continent africain.
Il a également fait remarquer que ce forum est sa dernière rencontre avec les acteurs africains en tant que président des USA, promettant de continuer à s'intéresser à ce forum après la fin de son mandat.
La Tunisie est un partenaire prioritaire des USA
Dans une déclaration à l'agence TAP, en marge du forum économique afro-américain, le porte-parole du département américain des Affaires étrangères chargé des Affaires africaines, Brian Neubert a indiqué que son pays accorde un grand intérêt à la Tunisie et la considère comme un partenaire prioritaire.
Il a, en outre, estimé que la participation tunisienne au forum économique afro-américain est un message qui témoigne de la détermination de la Tunisie à engager les réformes nécessaires afin de drainer l'investissement et de renforcer ses relations économiques avec les Etats-Unis.
S'agissant de la participation des USA à la conférence internationale sur l'investissement prévue en Tunisie les 29 et 30 novembre 2016, le responsable américain a confirmé la présence de son pays à cette manifestation promouvoir la coopération tuniso-américaine.
A cet égard, il a expliqué que le forum de New York est l'occasion pour les pays africains en général et pour la Tunisie en particulier de débattre avec l'administration américaine des conditions de création de nouveaux modèles de coopération dans les secteurs des finances et de l'investissement.
Dans ce même contexte, il a mis l'accent sur l'importance du rôle du secteur privé dans l'impulsion de l'économie partout dans le monde.
Le responsable américain a indiqué qu'une table ronde consacrée à l'expérience tunisienne se tiendra ultérieurement en début du soirée (heure locale) et réunira le président Béji Caid Essebsi, le chef de la diplomatie américaine, John Kerry et la direction du Fonds monétaire international (FMI), Christine Lagarde pour débattre de l'impulsion de l'investissement et de la promotion de l'emploi des jeunes diplômés de l'enseignement supérieur notamment.
Christine Lagarde salue l'adoption du Code d'Investissement
Béji Caïd Essebsi a échangé dans ce cadre avec Christine Lagarde, directrice du Fonds monétaire international (FMI) qui a salué l'adoption par l'Assemblée des Représentants du Peuple de la nouvelle loi sur l'investissement.
LIRE AUSSI: Tunisie: L'adoption à l'ARP du code d'investissement
Dans une déclaration faite à l'issue de sa rencontre avec le président de la république Béji Caid Essebsi, elle a exprimé sa satisfaction quant à l'adoption de cette loi et renouvelé le soutien du FMI à la Tunisie.
La rencontre du chef de l'Etat avec Lagarde s'est déroulée en présence du ministre tunisien du Développement, de l'Investissement et de la Coopération internationale et de responsables au sein du FMI.
Les conditions d'Obama pour aider les pays africains
Ouvrant lesdits travaux, le président américain Barack Obama a exprimé la volonté de son pays de promouvoir le capital humain en Afrique à travers l'enseignement, la formation et l'amélioration des conditions de vie.
Pour ce faire, il est impératif que les gouvernements des pays africains observent le principe de la transparence, luttent contre la corruption, bannissent le clientélisme et œuvrent pour le progrès du citoyen, a-t-il expliqué.
Le président américain a ensuite parlé de tous les maux du continent qui le plongent davantage dans le marasme économique, appelant les promoteurs parmi les participants à investir en Afrique et à développer le partenariat Afrique-USA.
Depuis 8 ans, les USA ont mis ce partenariat sur la voie et développé les relations économiques avec le concours de la Banque africaine de Développement (BAD), a précisé Obama, qui a rappelé qu'il est le seul président américain à avoir effectué 4 visites dans le continent africain.
Il a également fait remarquer que ce forum est sa dernière rencontre avec les acteurs africains en tant que président des USA, promettant de continuer à s'intéresser à ce forum après la fin de son mandat.
Retrouvez les articles du HuffPost Tunisie sur notre page Facebook.