Le député du bloc parlementaire du Mouvement Tunisie volonté (Al Hirak), Imed Daïmi, était l’invité de la matinale de la radio Express FM.
Le député a annoncé, lors de cette intervention, la naissance d’un nouveau bloc, au niveau de l’Assemblée des représentants du peuple, composé par les membres d’Al Hirak, du Courant démocratique, du Courant de l’amour et de quelques autres indépendants. Imed Daïmi a indiqué que ce bloc comportera entre quinze et seize députés.
Plus tard dans la journée, le membre du bureau politique du Courant démocratique, Nabil Hadji, est intervenu dans le cadre de l’émission l'Express où il a apporté des précisions sur l’affaire. Selon Nabil Hadji, le nouveau bloc parlementaire ne sera que technique. "Cela veut dire que ses députés n’auront pas l’obligation d’aller vers les mêmes consignes de vote", a-t-il précisé. "Cela veut aussi dire que ce bloc sera formé uniquement afin que les quinze députés puissent avoir un meilleur emplacement au niveau des différentes commissions parlementaires et pour qu’ils puissent, surtout, faire partie du bureau de l’Assemblée des représentants du peuple", a-t-il ajouté.
Nabil Hadji a précisé qu’il n’existera aucun socle pouvant faire de ce bloc un front parlementaire ou politique et que la collaboration s’arrêtera au niveau technique.
Il ne s’agit pas là de la première tentative de rassemblement de ces mêmes partis qui, en juin 2014, ont essayé de créer une sorte de plateforme de travail commune avec Ettakatol, le Parti des travailleurs tunisiens d'Ali Romdhane et le Mouvement de l'Unité populaire (MUP) d'Ahmed Ben Salah.
Suite à un premier échec, le Courant démocratique, Ettakatol, l’Alliance démocratique, Al Jomhouri, le parti du Travail tunisien, Mouvement Achaâb et le mouvement des démocrates sociaux ont essayé, en mai 2015, de fusionner tous en un seul parti. Quelques jours de négociations plus tard et le projet était, déjà, mort.
Le député a annoncé, lors de cette intervention, la naissance d’un nouveau bloc, au niveau de l’Assemblée des représentants du peuple, composé par les membres d’Al Hirak, du Courant démocratique, du Courant de l’amour et de quelques autres indépendants. Imed Daïmi a indiqué que ce bloc comportera entre quinze et seize députés.
Plus tard dans la journée, le membre du bureau politique du Courant démocratique, Nabil Hadji, est intervenu dans le cadre de l’émission l'Express où il a apporté des précisions sur l’affaire. Selon Nabil Hadji, le nouveau bloc parlementaire ne sera que technique. "Cela veut dire que ses députés n’auront pas l’obligation d’aller vers les mêmes consignes de vote", a-t-il précisé. "Cela veut aussi dire que ce bloc sera formé uniquement afin que les quinze députés puissent avoir un meilleur emplacement au niveau des différentes commissions parlementaires et pour qu’ils puissent, surtout, faire partie du bureau de l’Assemblée des représentants du peuple", a-t-il ajouté.
Nabil Hadji a précisé qu’il n’existera aucun socle pouvant faire de ce bloc un front parlementaire ou politique et que la collaboration s’arrêtera au niveau technique.
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Il ne s’agit pas là de la première tentative de rassemblement de ces mêmes partis qui, en juin 2014, ont essayé de créer une sorte de plateforme de travail commune avec Ettakatol, le Parti des travailleurs tunisiens d'Ali Romdhane et le Mouvement de l'Unité populaire (MUP) d'Ahmed Ben Salah.
Suite à un premier échec, le Courant démocratique, Ettakatol, l’Alliance démocratique, Al Jomhouri, le parti du Travail tunisien, Mouvement Achaâb et le mouvement des démocrates sociaux ont essayé, en mai 2015, de fusionner tous en un seul parti. Quelques jours de négociations plus tard et le projet était, déjà, mort.
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