INTERNATIONAL - Bruxelles est en émoi. Depuis plusieurs semaines, les habitants de la capitale belge découvrent, à leur réveil, de grandes fresques peintes sur les murs de la ville au caractère... un peu spécial.
Tout a commencé avec un phallus. Dans la nuit du 19 au 20 septembre dernier, un street-artiste a réalisé le dessin d'un pénis (au repos) sur le mur du collège de Saint-Gilles, dans ce quartier très fréquenté de Bruxelles. Alors qu'un sexe féminin puis un acte de pénétration faisaient également leur apparition sur certains bâtiments de la ville, la RTBF - qui a mené l'enquête - expliquait que ces fresques étaient, sans doute, l'oeuvre d'une seule et même personne.
Quoiqu'il en soit, alors que les habitants pensaient que l'artiste avait rangé crayons et pinceaux à côté de son inspiration, un anus a fait son apparition samedi 1er octobre, sur un autre mur bruxellois, toujours dans le quartier de Saint-Gilles, comme vous pouvez le voir ci-dessous.
Evidemment, et ce comme pour les premières œuvres, l'anus fait réagir les Belges, entre ceux qui trouvent cela "dégoûtant", "abject" et les autres, éblouis par "l'audace" et " la provocation". Et parmi eux, la mairie ne tranche pas. Elle refuse, en effet, de recouvrir ces fresques, laissant le choix aux propriétaires des murs de les garder ou non.
Nul doute que le travail - polémique - de l'artiste mystère pourrait trouver sa place parmi les exemples de certains manuels de philosophie: L'art peut-il se passer de règles? Vous avez quatre heures.
Tout a commencé avec un phallus. Dans la nuit du 19 au 20 septembre dernier, un street-artiste a réalisé le dessin d'un pénis (au repos) sur le mur du collège de Saint-Gilles, dans ce quartier très fréquenté de Bruxelles. Alors qu'un sexe féminin puis un acte de pénétration faisaient également leur apparition sur certains bâtiments de la ville, la RTBF - qui a mené l'enquête - expliquait que ces fresques étaient, sans doute, l'oeuvre d'une seule et même personne.
Bruxelles est très #CUL-turel ces derniers jours #streetart #brussels pic.twitter.com/940pjAf4HZ
— Aurore Peignois (@zariaurore) 20 septembre 2016
Quoiqu'il en soit, alors que les habitants pensaient que l'artiste avait rangé crayons et pinceaux à côté de son inspiration, un anus a fait son apparition samedi 1er octobre, sur un autre mur bruxellois, toujours dans le quartier de Saint-Gilles, comme vous pouvez le voir ci-dessous.
Anus géant: Bruxelles, capitale de la vulgarité?
— 7news24 live info (@7news24s) 1 octobre 2016
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Evidemment, et ce comme pour les premières œuvres, l'anus fait réagir les Belges, entre ceux qui trouvent cela "dégoûtant", "abject" et les autres, éblouis par "l'audace" et " la provocation". Et parmi eux, la mairie ne tranche pas. Elle refuse, en effet, de recouvrir ces fresques, laissant le choix aux propriétaires des murs de les garder ou non.
Nul doute que le travail - polémique - de l'artiste mystère pourrait trouver sa place parmi les exemples de certains manuels de philosophie: L'art peut-il se passer de règles? Vous avez quatre heures.
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