Hamza Batti, jeune élève du lycée pilote 15 octobre 1963 de Bizerte devra passer devant le conseil de discipline de son lycée et risque jusqu'à 3 jours d'exclusion.
La cause? Avoir publié sur Facebook des photos de l'état dans lequel celui-ci se trouve, ce que n'a visiblement pas apprécié l'administration du lycée.
Dans le post publié, il dénonce l'état du terrain de Basket "qui est en travaux depuis le début de la rentrée dernière", la poubelle déversée devant l'entrée principale, les fenêtres et les portes cassées et autre insalubrités.
Intervenant sur radio Mosaïque Fm, Hamza affirme qu'il n'avait "pas l'intention de nuire à la réputation du lycée, au contraire, j'ai simplement dit que cela ne fait pas honneur au lycée pilote de Bizerte" avant d'ajouter: "Et encore, ces photos ne représentent qu'une infime partie des problèmes auxquels font face les élèves du lycée pilote".
"Le surveillant général est venu vers moi et m'a dit qu'ils allaient m'interroger, que c'est une simple procédure administrative. J'ai fais "l'interrogatoire" hier et on m'a dit que j'avais mené une campagne de dénigrement et de désinformation contre l'administration du lycée", affirme Hamza.
Il confirme risquer 3 jours d'exclusion du lycée alors qu'il "ne voulait qu'exprimer mon avis, en toute liberté. J'ai le droit de poster les photos de mon lycée pour faire évoluer les choses, c'est tout ce que je veux".
La cause? Avoir publié sur Facebook des photos de l'état dans lequel celui-ci se trouve, ce que n'a visiblement pas apprécié l'administration du lycée.
Dans le post publié, il dénonce l'état du terrain de Basket "qui est en travaux depuis le début de la rentrée dernière", la poubelle déversée devant l'entrée principale, les fenêtres et les portes cassées et autre insalubrités.
Intervenant sur radio Mosaïque Fm, Hamza affirme qu'il n'avait "pas l'intention de nuire à la réputation du lycée, au contraire, j'ai simplement dit que cela ne fait pas honneur au lycée pilote de Bizerte" avant d'ajouter: "Et encore, ces photos ne représentent qu'une infime partie des problèmes auxquels font face les élèves du lycée pilote".
"Le surveillant général est venu vers moi et m'a dit qu'ils allaient m'interroger, que c'est une simple procédure administrative. J'ai fais "l'interrogatoire" hier et on m'a dit que j'avais mené une campagne de dénigrement et de désinformation contre l'administration du lycée", affirme Hamza.
Il confirme risquer 3 jours d'exclusion du lycée alors qu'il "ne voulait qu'exprimer mon avis, en toute liberté. J'ai le droit de poster les photos de mon lycée pour faire évoluer les choses, c'est tout ce que je veux".
Retrouvez les articles du HuffPost Tunisie sur notre page Facebook.