L’employée qui avait agressé le délégué de Sidi Hassine à Séjoumi a été condamnée à 5 ans et 6 mois de prison, alors que le deuxième fonctionnaire accusé dans la même affaire a écopé de trois ans et 6 mois de prison, a déclaré lundi à l’agence TAP le porte-parole du Tribunal de première instance de Tunis 2, Moez Ben Salem.
En vertu des jugements prononcés à son encontre par le Tribunal de première instance de Tunis 2, l’agresseuse du délégué a été condamnée à 4 ans de prison pour violente agression contre un agent public, à un an de prison pour outrage à un agent public et à 6 mois de prison pour diffamation publique.
Quant à l’autre employé, il a été condamné à un an de prison pour violente agression contre un agent public, à un an de prison pour outrage à un agent public, à un an de prison pour fausses allégations et à 6 mois de prison pour diffamation publique.
Une employée de la délégation de Sidi Hassine à Séjoumi (Tunis) en charge du dossier des logements sociaux avait agressé, le 3 octobre en cours, le délégué de la région Mohamed Kamel Boujeh.
Cette employée avait accusée le délégué en question d’harcèlement sexuel, ce que dément le délégué.
Boujeh avait indiqué que la fonctionnaire ne s’est pas acquittée pleinement de la mission qui lui a été confiée, ce qui a valu de lui adresser un questionnaire à ce sujet.
En vertu des jugements prononcés à son encontre par le Tribunal de première instance de Tunis 2, l’agresseuse du délégué a été condamnée à 4 ans de prison pour violente agression contre un agent public, à un an de prison pour outrage à un agent public et à 6 mois de prison pour diffamation publique.
Quant à l’autre employé, il a été condamné à un an de prison pour violente agression contre un agent public, à un an de prison pour outrage à un agent public, à un an de prison pour fausses allégations et à 6 mois de prison pour diffamation publique.
Une employée de la délégation de Sidi Hassine à Séjoumi (Tunis) en charge du dossier des logements sociaux avait agressé, le 3 octobre en cours, le délégué de la région Mohamed Kamel Boujeh.
Cette employée avait accusée le délégué en question d’harcèlement sexuel, ce que dément le délégué.
Boujeh avait indiqué que la fonctionnaire ne s’est pas acquittée pleinement de la mission qui lui a été confiée, ce qui a valu de lui adresser un questionnaire à ce sujet.
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