Major de sa promo au baccalauréat, Mehdi Cherif, 18 ans, a décidé de consacrer cette année à des activités associatives et entrepreneuriales, afin d'augmenter ses chances d'admission dans une université américaine l'année prochaine.
C'est vers l'âge de 15 ans que Mehdi a commencé à s'immiscer dans le monde associatif en intégrant des associations comme "Modèle de l'Union Africaine" ou encore "Tunsia Africa Forward", qui œuvrent pour le développement, tous secteurs inclus, des pays africains.
Il est, par ailleurs, finaliste du concours programme "3andi Fekra" , grâce à une invention technologique dans le domaine de l'éducation.
Peu à peu, il s'est intégré dans un cercle qu'il désigne comme "fermé".
Fermé car méconnu et préservé par ceux qui l'incorporent, et pourtant, il est si ouvert sur le monde et les opportunités.
Mehdi parle là de jeunes tunisiens de 16 à 18 ans que les meilleures universités du monde s'arrachent.
Ces jeunes ont très tôt compris que la réussite ne viendra pas toquer à leur porte s'ils se contentent de leurs cours au lycée.
S'ils veulent se dépasser, c'est en étant actifs et en allant chercher les opportunités ailleurs.
Ces jeunes l'ont certes inspiré, mais ce qu'il voulait faire au-delà de sa réussite personnelle, c'est partager cet univers avec tous ceux qui voulaient bien s'y introduire.
Il mentionne, notamment, la fuite des cerveaux, "Ça dérange, car il y a tellement de choses à faire pour la Tunisie, nous devons construire notre pays, et il y a tellement de potentiel!"
Il s'active...
"Au départ, quand j'ai commencé le travail associatif, c'était pour des fins purement personnelles, pour ne pas dire égoïstes." raconte-t-il, "J'aspirais à postuler dans une université aux Etats-Unis, et c'est là que j'ai découvert ce monde vaste et tout le bien qu'il procure!"
Dans une optique de partage, Mehdi a décidé de créer une association, "El Mecheel", dans le but de sensibiliser les jeunes, depuis leurs années collège et lycée, à intégrer le milieu associatif.
Il espère aussi voir l'Etat y prendre part en encourageant les jeunes à aller vers les associations, peut-être même à incorporer une démarche qui aille dans ce sens dans le système éducatif.
"On devrait consacrer même une heure par semaine et s'essayer aux activités caritatives, il faut montrer aux jeunes à quel point c'est important!"
Les sondages constituent un autre volet de l'association, adressés aux élèves, l'objectif est d'en savoir plus sur leur situation et leurs besoins.
"Il y a beaucoup à construire"
Sans beaucoup d'expérience, et malgré le manque d'accompagnement, Mehdi persévère et cherche partout autour de lui à ceux qui y croient comme lui, à l'avenir d'un enseignement digne de ce nom.
Dans 5 ans, le jeune ambitieux voit la Tunisie avec des yeux pleins d'espoir. Il espère être admis à Harvard et revenir ensuite contribuer à la construction de son pays.
C'est vers l'âge de 15 ans que Mehdi a commencé à s'immiscer dans le monde associatif en intégrant des associations comme "Modèle de l'Union Africaine" ou encore "Tunsia Africa Forward", qui œuvrent pour le développement, tous secteurs inclus, des pays africains.
Il est, par ailleurs, finaliste du concours programme "3andi Fekra" , grâce à une invention technologique dans le domaine de l'éducation.
Peu à peu, il s'est intégré dans un cercle qu'il désigne comme "fermé".
Fermé car méconnu et préservé par ceux qui l'incorporent, et pourtant, il est si ouvert sur le monde et les opportunités.
Mehdi parle là de jeunes tunisiens de 16 à 18 ans que les meilleures universités du monde s'arrachent.
Ces jeunes ont très tôt compris que la réussite ne viendra pas toquer à leur porte s'ils se contentent de leurs cours au lycée.
S'ils veulent se dépasser, c'est en étant actifs et en allant chercher les opportunités ailleurs.
Ces jeunes l'ont certes inspiré, mais ce qu'il voulait faire au-delà de sa réussite personnelle, c'est partager cet univers avec tous ceux qui voulaient bien s'y introduire.
Il mentionne, notamment, la fuite des cerveaux, "Ça dérange, car il y a tellement de choses à faire pour la Tunisie, nous devons construire notre pays, et il y a tellement de potentiel!"
Il s'active...
"Au départ, quand j'ai commencé le travail associatif, c'était pour des fins purement personnelles, pour ne pas dire égoïstes." raconte-t-il, "J'aspirais à postuler dans une université aux Etats-Unis, et c'est là que j'ai découvert ce monde vaste et tout le bien qu'il procure!"
Dans une optique de partage, Mehdi a décidé de créer une association, "El Mecheel", dans le but de sensibiliser les jeunes, depuis leurs années collège et lycée, à intégrer le milieu associatif.
Il espère aussi voir l'Etat y prendre part en encourageant les jeunes à aller vers les associations, peut-être même à incorporer une démarche qui aille dans ce sens dans le système éducatif.
"On devrait consacrer même une heure par semaine et s'essayer aux activités caritatives, il faut montrer aux jeunes à quel point c'est important!"
Les sondages constituent un autre volet de l'association, adressés aux élèves, l'objectif est d'en savoir plus sur leur situation et leurs besoins.
"Il y a beaucoup à construire"
Sans beaucoup d'expérience, et malgré le manque d'accompagnement, Mehdi persévère et cherche partout autour de lui à ceux qui y croient comme lui, à l'avenir d'un enseignement digne de ce nom.
Dans 5 ans, le jeune ambitieux voit la Tunisie avec des yeux pleins d'espoir. Il espère être admis à Harvard et revenir ensuite contribuer à la construction de son pays.
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