A la fin de la semaine dernière, le vice-président du bloc parlementaire du mouvement de Nidaa Tounes, Mohamed Saïdane, a déclaré que lui et quinze députés ont envoyé une correspondance au président de l’Assemblée des représentants du peuple, Mohamed Ennaceur, dans laquelle ils l’ont informé du gel de leur adhésion au bloc.
Ainsi, Mohamed Saïdane, Héla Omrane, Mohamed Souf, Chaker Ayadi, Tahar Battikh, Leila Ouled Ali, Hatem Ferjani, Ali Belakhoua, Lamia Mlayah, Mohamed Hédi Gueddich, Jalel Ghedira, Mohamed Kamel Hamzaoui, Ikram Moulahi, Souad Zaouali, Hamza Abdelhafidh et Néjia Ben Abdelhafidh ont décidé d’aller vers le gel d’adhésion en expliquant que si jamais la situation ne changeait pas, ils se verraient obligés de démissionner et du parti et du bloc.
Si Saïdane n’a pas été très clair quant aux raisons de ce gel, son collègue, Tahar Battikh a expliqué que cette action est une sorte de protestation contre l’absence du critère des compétences lors de la répartition des postes relatifs aux différentes Commissions au sein du Parlement et à son bureau. Lors d’une déclaration accordée à la TAP, Tahar Battikh a par ailleurs annoncé la démission de quatre députés du bloc de Nidaa Tounes (Noureddine Ben Achour, Ali Ben Salem, Lotfi Ali, Naceur Channoufi et Mohamed Saïdane).
Réagissant à ces déclarations, le président du bloc de Nidaa Tounes, Sofiene Toubel, a assuré qu’il existe une seule démission qui est celle du député Nourredine Ben Achour (le député dissident du bloc de l’Union patriotique libre). Lors d’une déclaration médiatique, Toubel a assuré que le bureau de l’ARP n’a reçu aucune demande de démission à part celle de Ben Achour. Interrogé sur le gel d’adhésion des seize députés suscités, Sofiene Toubel a attiré l’attention sur l’absence de toute valeur juridique d’un tel acte qui n’est pas mentionné au niveau du règlement intérieur du Parlement. ‘Le règlement intérieur de l’ARP évoque soit la démission d’un bloc soit l’adhésion à un bloc’ a expliqué le président du bloc de Nidaa Tounes.
Invitée de la radio Express FM, la députée Hela Ben Omrane a expliqué que ses collègues et elle-même ont choisi d’aller vers le gel d’adhésion en signe de protestation politique et qu’ils attendront de voir la réaction des concernés avant de passer aux autres niveaux de contestation.
Ainsi, Mohamed Saïdane, Héla Omrane, Mohamed Souf, Chaker Ayadi, Tahar Battikh, Leila Ouled Ali, Hatem Ferjani, Ali Belakhoua, Lamia Mlayah, Mohamed Hédi Gueddich, Jalel Ghedira, Mohamed Kamel Hamzaoui, Ikram Moulahi, Souad Zaouali, Hamza Abdelhafidh et Néjia Ben Abdelhafidh ont décidé d’aller vers le gel d’adhésion en expliquant que si jamais la situation ne changeait pas, ils se verraient obligés de démissionner et du parti et du bloc.
Si Saïdane n’a pas été très clair quant aux raisons de ce gel, son collègue, Tahar Battikh a expliqué que cette action est une sorte de protestation contre l’absence du critère des compétences lors de la répartition des postes relatifs aux différentes Commissions au sein du Parlement et à son bureau. Lors d’une déclaration accordée à la TAP, Tahar Battikh a par ailleurs annoncé la démission de quatre députés du bloc de Nidaa Tounes (Noureddine Ben Achour, Ali Ben Salem, Lotfi Ali, Naceur Channoufi et Mohamed Saïdane).
Réagissant à ces déclarations, le président du bloc de Nidaa Tounes, Sofiene Toubel, a assuré qu’il existe une seule démission qui est celle du député Nourredine Ben Achour (le député dissident du bloc de l’Union patriotique libre). Lors d’une déclaration médiatique, Toubel a assuré que le bureau de l’ARP n’a reçu aucune demande de démission à part celle de Ben Achour. Interrogé sur le gel d’adhésion des seize députés suscités, Sofiene Toubel a attiré l’attention sur l’absence de toute valeur juridique d’un tel acte qui n’est pas mentionné au niveau du règlement intérieur du Parlement. ‘Le règlement intérieur de l’ARP évoque soit la démission d’un bloc soit l’adhésion à un bloc’ a expliqué le président du bloc de Nidaa Tounes.
Invitée de la radio Express FM, la députée Hela Ben Omrane a expliqué que ses collègues et elle-même ont choisi d’aller vers le gel d’adhésion en signe de protestation politique et qu’ils attendront de voir la réaction des concernés avant de passer aux autres niveaux de contestation.
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