L'A320 d'Egyptair reliant Paris au Caire qui s'est abîmé jeudi dans la Méditerranée avait été livré à la compagnie fin 2003, accumulant 48.000 heures de vol, selon Airbus, et était passé mercredi par l'Erythrée, l'Egypte et la Tunisie, selon le site internet FlightRadar24.
"Airbus est au regret de confirmer qu'un A320 opéré par EgyptAir a été perdu (...) au-dessus de la Méditerranée", a indiqué Airbus dans un communiqué.
"L'appareil impliqué, immatriculé SU-GCC, portait le numéro de série 2088 et avait été livré à EgyptAir à la sortie de la ligne de production, en novembre 2003. L'appareil avait accumulé 48.000 heures de vol environ", selon la même source.
Cet usage semble cohérent avec un appareil de moins de 13 ans, ce qui est relativement récent dans un secteur où les avions sont prévus pour durer 30 voire 40 ans.
Avant de s'envoler peu après 23H00 locales (21H00 GMT) de Paris, l'avion avait effectué plusieurs rotations à un rythme soutenu, selon le site spécialisé FlightRadar24 qui suit les évolutions du trafic aérien en temps réel et conserve les archives des vols. Là encore, une utilisation aussi intensive constitue la norme dans l'aviation civile.
L'avion SU-GCC avait démarré sa journée de mercredi à Asmara, la capitale de l'Erythrée, où il était arrivé mardi soir du Caire, selon Flightradar. Il avait redécollé à 01H30 GMT pour la capitale égyptienne où il a atterri deux heures et 32 minutes plus tard.
Un peu plus de deux heures après, à 06H21 GMT, il est reparti pour Tunis, un vol de trois heures et 12 minutes. Après seulement une heure et deux minutes d'escale, il est revenu au Caire à 13H17 GMT à l'issue de deux heures et 24 minutes de trajet, toujours selon FlightRadar24.
Son escale au Caire a duré cette fois moins de deux heures et il a redécollé pour Paris-Charles de Gaulle où il a atterri à 19H55 GMT, selon ces registres. Il a redécollé de la capitale française vers 23H00 (21H00 GMT) et devait atterrir au Caire vers 3H00 (1H00 GMT). Il a disparu des radars grecs vers 00H30 GMT, alors qu'il se trouvait dans l'espace aérien égyptien.
De son côté, Airbus a affirmé qu'il se tenait "prêt à apporter toute aide technique" au Bureau Enquête Analyse (BEA) ainsi qu'aux autorités chargées de l'enquête, en faisant part de sa "préoccupation vis-à-vis de toutes les personnes affectées" par la perte de l'appareil.
Ce dernier s'est abîmé au large de l'île grecque de Karpathos, dans le sud-est de la mer Egée, "alors qu'il se trouvait dans l'espace aérien égyptien", a indiqué à l'AFP une source de l'aviation civile grecque.
"Airbus est au regret de confirmer qu'un A320 opéré par EgyptAir a été perdu (...) au-dessus de la Méditerranée", a indiqué Airbus dans un communiqué.
"L'appareil impliqué, immatriculé SU-GCC, portait le numéro de série 2088 et avait été livré à EgyptAir à la sortie de la ligne de production, en novembre 2003. L'appareil avait accumulé 48.000 heures de vol environ", selon la même source.
Cet usage semble cohérent avec un appareil de moins de 13 ans, ce qui est relativement récent dans un secteur où les avions sont prévus pour durer 30 voire 40 ans.
Avant de s'envoler peu après 23H00 locales (21H00 GMT) de Paris, l'avion avait effectué plusieurs rotations à un rythme soutenu, selon le site spécialisé FlightRadar24 qui suit les évolutions du trafic aérien en temps réel et conserve les archives des vols. Là encore, une utilisation aussi intensive constitue la norme dans l'aviation civile.
L'avion SU-GCC avait démarré sa journée de mercredi à Asmara, la capitale de l'Erythrée, où il était arrivé mardi soir du Caire, selon Flightradar. Il avait redécollé à 01H30 GMT pour la capitale égyptienne où il a atterri deux heures et 32 minutes plus tard.
Un peu plus de deux heures après, à 06H21 GMT, il est reparti pour Tunis, un vol de trois heures et 12 minutes. Après seulement une heure et deux minutes d'escale, il est revenu au Caire à 13H17 GMT à l'issue de deux heures et 24 minutes de trajet, toujours selon FlightRadar24.
Son escale au Caire a duré cette fois moins de deux heures et il a redécollé pour Paris-Charles de Gaulle où il a atterri à 19H55 GMT, selon ces registres. Il a redécollé de la capitale française vers 23H00 (21H00 GMT) et devait atterrir au Caire vers 3H00 (1H00 GMT). Il a disparu des radars grecs vers 00H30 GMT, alors qu'il se trouvait dans l'espace aérien égyptien.
De son côté, Airbus a affirmé qu'il se tenait "prêt à apporter toute aide technique" au Bureau Enquête Analyse (BEA) ainsi qu'aux autorités chargées de l'enquête, en faisant part de sa "préoccupation vis-à-vis de toutes les personnes affectées" par la perte de l'appareil.
Ce dernier s'est abîmé au large de l'île grecque de Karpathos, dans le sud-est de la mer Egée, "alors qu'il se trouvait dans l'espace aérien égyptien", a indiqué à l'AFP une source de l'aviation civile grecque.
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