Un commandant du groupe Etat islamique (EI), qui avait été condamné en Italie pour activités terroristes, a été arrêté au Soudan, a annoncé lundi un sénateur italien, Giacomo Stucchi.
M. Stucchi, qui préside le comité parlementaire chargé de superviser les services secrets italiens, a indiqué que ceux-ci avaient joué un rôle-clé pour retrouver ce jihadiste tunisien connu sous le nom de Abu Nassim - de son vrai nom Moez Fezzani - qui commandait jusqu'à récemment les combattants de l'EI basés près du port de Sabratha (nord-ouest de la Libye).
Il s'est félicité que cet homme, qui représentait selon lui "une menace particulière pour la sécurité de tous les citoyens occidentaux, ne soit plus en liberté".
Après avoir vécu une bonne partie de sa jeunesse en Italie, où il était arrivé en 1989, Nassim avait combattu en Afghanistan et en Syrie, avant de s'établir en Libye en 2014, selon les services de renseignement.
Soupçonné de chercher à radicaliser d'autres immigrants arabes, il avait disparu en 1997 pour réapparaître au Pakistan, dans le but de se joindre aux forces d'Oussama Ben Laden en Afghanistan.
Arrêté par l'armée américaine en 2001, il avait été enfermé au camp de détention de Bagram. Il en avait été transféré en Italie en 2009.
Acquitté en 2012 des charges de recrutement terroriste pesant contre lui, il avait été expulsé vers la Tunisie en 2012. Un an plus tard, il avait été reconnu coupable en appel, mais en son absence. A cette époque il combattait déjà en Syrie, selon les enquêteurs.
La Tunisie avait émis un mandat d'arrêt contre lui en relation avec l'attentat contre le musée du Bardo, en mars 2015 à Tunis, dans lequel 21 touristes et un policier avaient été tués.
M. Stucchi, qui préside le comité parlementaire chargé de superviser les services secrets italiens, a indiqué que ceux-ci avaient joué un rôle-clé pour retrouver ce jihadiste tunisien connu sous le nom de Abu Nassim - de son vrai nom Moez Fezzani - qui commandait jusqu'à récemment les combattants de l'EI basés près du port de Sabratha (nord-ouest de la Libye).
Il s'est félicité que cet homme, qui représentait selon lui "une menace particulière pour la sécurité de tous les citoyens occidentaux, ne soit plus en liberté".
Après avoir vécu une bonne partie de sa jeunesse en Italie, où il était arrivé en 1989, Nassim avait combattu en Afghanistan et en Syrie, avant de s'établir en Libye en 2014, selon les services de renseignement.
Soupçonné de chercher à radicaliser d'autres immigrants arabes, il avait disparu en 1997 pour réapparaître au Pakistan, dans le but de se joindre aux forces d'Oussama Ben Laden en Afghanistan.
Arrêté par l'armée américaine en 2001, il avait été enfermé au camp de détention de Bagram. Il en avait été transféré en Italie en 2009.
Acquitté en 2012 des charges de recrutement terroriste pesant contre lui, il avait été expulsé vers la Tunisie en 2012. Un an plus tard, il avait été reconnu coupable en appel, mais en son absence. A cette époque il combattait déjà en Syrie, selon les enquêteurs.
La Tunisie avait émis un mandat d'arrêt contre lui en relation avec l'attentat contre le musée du Bardo, en mars 2015 à Tunis, dans lequel 21 touristes et un policier avaient été tués.
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