En ce jeudi 1er décembre, le président de la République, Béji Caid Essebsi, a prononcé, un discours en séance plénière devant le Parlement européen à Bruxelles. S’adressant aux 28 pays membres de l’UE à travers leurs élus, le président de la République a souligné l’importance des relations historiques qui relient les deux parties et a insisté sur le rôle primordial de l’UE dans le parachèvement de la transition démocratique en Tunisie.
“Je suis venu vous transmettre, au nom de mon pays, un message d'amitié et de solidarité", a-t-il lancé en évoquant les principales réalisations faites par la Tunisie et l’exceptionnel parcours réalisé par le pays durant ces cinq dernières années. Il a indiqué qu’avec une constitution moderne, un président élu, un parlement pluriel, la Tunisie se présente dans un nouveau visage loin des idéologies dogmatiques et des tiraillements religieux.
“Mais la transition démocratique a un coût,” a-t-il ajouté. Il a indiqué que ce coût se traduit principalement par la fragilisation de l’économie nationale, la faiblesse des données macroéconomiques et des défaillances sécuritaires.
Il a expliqué que la Tunisie passe actuellement par une situation difficile et nécessite le soutien de l’UE pour faire réussir la transition démocratique. “L’exception de la Tunisie doit être soutenu et appuyée,” a-t-il martelé.
Caïd Essebsi est revenu, d’autre part, sur l’événement phare tenu récemment à Tunis à savoir la Conférence internationale sur l’Investissement Tunisia 2020. Il a précisé que cette conférence a pu repositionner la Tunisie sur la carte internationale de l’investissement. L’image de la Tunisie s’est redorée et la confiance a été renouvelée, a-t-il noté.
Le président de la République a, également, fait savoir que les instruments traditionnels sont insuffisants et la Tunisie nécessite un traitement de faveur de la part de son partenaire historique notamment à travers des mesures d’appui significatives tels qu’un plan Marshall ou la reconversion de ses dettes en investissements.
A travers son discours qui s’inscrit dans le cadre du 40ème anniversaire de la coopération entre la Tunisie et l’UE, Béji Caid Essebsi a révélé certes l’amitié et la coopération entre la Tunisie et l’Europe mais a plaidé surtout en faveur d’un soutien plus substantiel à l’essor de l’économie tunisienne et au développement intégral.
Notons qu’au cours de sa visite à Bruxelles, le président Caïd Essebsi rencontrera le Roi des Belges. L’entretien sera l’occasion de discuter de l’évolution des relations bilatérales et des perspectives du renforcement des liens d’amitié et de coopération existant entre les deux pays.
Au siège du parlement européen, le chef de l’Etat s’entretiendra avec le président du parlement et donnera une déclaration de presse conjointe cet après-midi. Le président de la République est accompagné du ministre des Affaires étrangères, Khemaies Jhinaoui, et de plusieurs de ses conseillers.
“Je suis venu vous transmettre, au nom de mon pays, un message d'amitié et de solidarité", a-t-il lancé en évoquant les principales réalisations faites par la Tunisie et l’exceptionnel parcours réalisé par le pays durant ces cinq dernières années. Il a indiqué qu’avec une constitution moderne, un président élu, un parlement pluriel, la Tunisie se présente dans un nouveau visage loin des idéologies dogmatiques et des tiraillements religieux.
“Mais la transition démocratique a un coût,” a-t-il ajouté. Il a indiqué que ce coût se traduit principalement par la fragilisation de l’économie nationale, la faiblesse des données macroéconomiques et des défaillances sécuritaires.
Il a expliqué que la Tunisie passe actuellement par une situation difficile et nécessite le soutien de l’UE pour faire réussir la transition démocratique. “L’exception de la Tunisie doit être soutenu et appuyée,” a-t-il martelé.
Caïd Essebsi est revenu, d’autre part, sur l’événement phare tenu récemment à Tunis à savoir la Conférence internationale sur l’Investissement Tunisia 2020. Il a précisé que cette conférence a pu repositionner la Tunisie sur la carte internationale de l’investissement. L’image de la Tunisie s’est redorée et la confiance a été renouvelée, a-t-il noté.
Le président de la République a, également, fait savoir que les instruments traditionnels sont insuffisants et la Tunisie nécessite un traitement de faveur de la part de son partenaire historique notamment à travers des mesures d’appui significatives tels qu’un plan Marshall ou la reconversion de ses dettes en investissements.
A travers son discours qui s’inscrit dans le cadre du 40ème anniversaire de la coopération entre la Tunisie et l’UE, Béji Caid Essebsi a révélé certes l’amitié et la coopération entre la Tunisie et l’Europe mais a plaidé surtout en faveur d’un soutien plus substantiel à l’essor de l’économie tunisienne et au développement intégral.
Notons qu’au cours de sa visite à Bruxelles, le président Caïd Essebsi rencontrera le Roi des Belges. L’entretien sera l’occasion de discuter de l’évolution des relations bilatérales et des perspectives du renforcement des liens d’amitié et de coopération existant entre les deux pays.
Au siège du parlement européen, le chef de l’Etat s’entretiendra avec le président du parlement et donnera une déclaration de presse conjointe cet après-midi. Le président de la République est accompagné du ministre des Affaires étrangères, Khemaies Jhinaoui, et de plusieurs de ses conseillers.
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