Le site du groupe pétrolier britannique Petrofac sur l'île de Kerkennah, en Tunisie, est encore à l'arrêt depuis mercredi 14 décembre 2016, et ce malgré l'accord récemment négocié sur ce dossier sensible.
Invité à Express Fm, le ministre des Affaires sociales Mohamed Trabelsi est revenu sur les dessous de cette affaire et a dévoilé les raisons qui laissent Pertofac envisage de plier bagages.
Le ministre a indiqué que l’arrêt de Pertofac est causé par le blocage de la sortie des camions de condensat de l’île de Kerkennah vers Sfax. Il a précisé que les camions n’ont qu’une seule issue pour accéder aux champs gaziers. “Une fois bloquée, toute l’activité s’arrête,” a-t-il noté.
Trabelsi a fait savoir que ce blocage n’a rien à avoir avec les parties ayant conclu l’accord de septembre dernier. “Une seule personne, avec l’aide de sa famille, est derrière ce blocage,” a-il affirmé. “Et pour des raisons purement personnelles” a-t-il précisé.
Le ministre a qualifié d’inadmissible cet acte et a fortement critiqué le recours à ce genre de protestations illégales qui ne font qu’empirer la situation et causer un important manque à gagner pour l’État.
Il ne s'agit pas de la première crise que connait Petrofac. Face à la récurrence des mouvements de protestations qui ne cesse d'entraver l’activité de la société, Petrofac aurait donc décidé, il’y a deux semaines, d’arrêter ses activités dans le champ gazier de Chargui et de quitter définitivement le pays.
Rappelons qu'un accord avait été conclu, jeudi 16 avril 2015, permettant la poursuite des activités et ce à la suite de l’engagement de l’administration de la société à fournir une indemnité de soutien au profit de 266 employés de la société, selon un communiqué rendu public, à l'époque, par le ministère des Affaires sociales.
En plus d’un procès verbal qui avait été signé en septembre dernier avec le gouvernement afin de mettre fin aux protestations et de maintenir en activité la branche de la société britannique établie à Kerkennah.
Invité à Express Fm, le ministre des Affaires sociales Mohamed Trabelsi est revenu sur les dessous de cette affaire et a dévoilé les raisons qui laissent Pertofac envisage de plier bagages.
Le ministre a indiqué que l’arrêt de Pertofac est causé par le blocage de la sortie des camions de condensat de l’île de Kerkennah vers Sfax. Il a précisé que les camions n’ont qu’une seule issue pour accéder aux champs gaziers. “Une fois bloquée, toute l’activité s’arrête,” a-t-il noté.
Trabelsi a fait savoir que ce blocage n’a rien à avoir avec les parties ayant conclu l’accord de septembre dernier. “Une seule personne, avec l’aide de sa famille, est derrière ce blocage,” a-il affirmé. “Et pour des raisons purement personnelles” a-t-il précisé.
Le ministre a qualifié d’inadmissible cet acte et a fortement critiqué le recours à ce genre de protestations illégales qui ne font qu’empirer la situation et causer un important manque à gagner pour l’État.
Il ne s'agit pas de la première crise que connait Petrofac. Face à la récurrence des mouvements de protestations qui ne cesse d'entraver l’activité de la société, Petrofac aurait donc décidé, il’y a deux semaines, d’arrêter ses activités dans le champ gazier de Chargui et de quitter définitivement le pays.
Rappelons qu'un accord avait été conclu, jeudi 16 avril 2015, permettant la poursuite des activités et ce à la suite de l’engagement de l’administration de la société à fournir une indemnité de soutien au profit de 266 employés de la société, selon un communiqué rendu public, à l'époque, par le ministère des Affaires sociales.
En plus d’un procès verbal qui avait été signé en septembre dernier avec le gouvernement afin de mettre fin aux protestations et de maintenir en activité la branche de la société britannique établie à Kerkennah.
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