Le congrès national de la jeunesse sera suivi par la tenue d’une conférence nationale sur l’investissement au profit des jeunes, a assuré le chef du gouvernement Youssef Chahed.
S’exprimant mercredi à la clôture du congrès, il a annoncé aussi la révision des attributions du conseil supérieur de la jeunesse. Objectif; mettre cette structure en phase avec la stratégie nationale intégrée de la jeunesse 2030.
"Parler de la jeunesse, c’est parler de l’avenir", a-t-il estimé. Toutefois, cette jeunesse qui offert au pays une révolution et au peuple la démocratie et la liberté, n’a pas trouvé en retour, des solutions à ses problèmes dont en premier lieu le chômage, l’abandon scolaire et les drogues, a admis Youssef Chahed.
A ce propos, il a expliqué que les difficultés économiques que connait le pays depuis des années sont à l’origine de l’augmentation des taux de chômage dans les rangs des jeunes diplômés et autres.
Il a évoqué dans ce sens le "contrat de la dignité" comme solution trouvée par le gouvernement pour encourager les entreprises à recruter les diplômés dans des spécialités à faible employabilité ainsi que le projet de financement des petits projets et d’encouragement de l’initiative privée.
Lors des journées du travail organisées le mois en cours à Jendouba et Siliana, le gouvernement a approuvé le financement de 500 projets pouvant générer jusqu’à 1000 emplois, a-t-il affirmé. Il a ajouté que des manifestations similaires sont prévues dans d’autres régions.
Youssef Chahed a précisé que la politique de la Tunisie doit impérativement se baser sur la jeunesse dans la mesure où le pays connaitra dans les années à venir "une chance démographique". Estimée à 2.6 millions, la catégorie des jeunes entre 18 et 30 ans, soit 24% de la population, sera multipliée à l’horizon 2034.
Les peuples qui comptent un taux élevé de jeunes réalisent les meilleurs taux de croissance et sont les plus aptes à atteindre les objectifs du développement, a fait remarquer le chef du gouvernement.
S’exprimant mercredi à la clôture du congrès, il a annoncé aussi la révision des attributions du conseil supérieur de la jeunesse. Objectif; mettre cette structure en phase avec la stratégie nationale intégrée de la jeunesse 2030.
"Parler de la jeunesse, c’est parler de l’avenir", a-t-il estimé. Toutefois, cette jeunesse qui offert au pays une révolution et au peuple la démocratie et la liberté, n’a pas trouvé en retour, des solutions à ses problèmes dont en premier lieu le chômage, l’abandon scolaire et les drogues, a admis Youssef Chahed.
A ce propos, il a expliqué que les difficultés économiques que connait le pays depuis des années sont à l’origine de l’augmentation des taux de chômage dans les rangs des jeunes diplômés et autres.
Il a évoqué dans ce sens le "contrat de la dignité" comme solution trouvée par le gouvernement pour encourager les entreprises à recruter les diplômés dans des spécialités à faible employabilité ainsi que le projet de financement des petits projets et d’encouragement de l’initiative privée.
Lors des journées du travail organisées le mois en cours à Jendouba et Siliana, le gouvernement a approuvé le financement de 500 projets pouvant générer jusqu’à 1000 emplois, a-t-il affirmé. Il a ajouté que des manifestations similaires sont prévues dans d’autres régions.
Youssef Chahed a précisé que la politique de la Tunisie doit impérativement se baser sur la jeunesse dans la mesure où le pays connaitra dans les années à venir "une chance démographique". Estimée à 2.6 millions, la catégorie des jeunes entre 18 et 30 ans, soit 24% de la population, sera multipliée à l’horizon 2034.
Les peuples qui comptent un taux élevé de jeunes réalisent les meilleurs taux de croissance et sont les plus aptes à atteindre les objectifs du développement, a fait remarquer le chef du gouvernement.
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