Nidaa Tounes "représente plus un problème pour le pays qu'une solution" a indiqué Saïd Aïdi, ancien ministre de la Santé et dirigeant au sein de Nidaa Tounès, dans une interview accordée à Radio Med FM, en ce mardi 3 janvier 2017.
Voilà ce qu’il faut faire pour lutter contre le terrorisme...
"Il faut un rejet catégorique de ce qu’on appelle la 'loi du repentir' et de tous ses dérivés" a affirmé l'ancien ministre de la Santé.
Il a mis l’accent sur la nécessité d’adopter une stratégie claire afin d’éviter les scénarios de Soliman ou d’Algérie dans les années 90 en exhortant le gouvernement à définir ses priorités et à mettre fin à la confusion notamment en ce qui concerne le nombre de terroristes se trouvant dans les zones de conflit.
Revenant sur le dossier des terroristes de retour en Tunisie, l’ancien ministre a souligné la nécessité de mettre en place un plan stratégique clair reflétant une réelle volonté nationale pour faire face à ce fléau. “Une vision et un discours clairs s’imposent” a-t-il soutenu.
Il a indiqué que cette stratégie nationale pourrait être menée par une personnalité qui rejoint à la fois des compétences diplomatiques et sécuritaires citant le nom de Kamel Morjane comme exemple. "Il a les compétences nécessaires pour être cette personnalité".
Aïdi a appelé, par ailleurs, à une coopération internationale notamment avec les pays voisins touchés par le terrorisme. “Il faut unifier les rangs” a-t-il ajouté en insistant sur le rôle du pôle judiciaire de lutte contre le terrorisme. “Aucun pays ne peut faire face à ce fléau, tout seul. Il faut une coordination à l’échelle régionale mais aussi internationale” a-t-il renchéri.
Nidaa Tounes aux yeux de Saïd Aïdi
“Nidaa Tounes souffre d’une crise de morale politique,” a estimé Aïdi en indiquant que son parti représente plus un problème qu’une solution pour le pays. Il a indiqué qu’avec ses conflits internes, Nidaa est très loin des préoccupations et des problèmes du citoyen.
Face à un parti qui ne semble pas accorder ses violons, Aïdi estime que Nidaa n’est pas en train de jouer pleinement son rôle. "Il va y avoir des décisions qui vont être prises bientôt" a-t-il dit.
Voilà ce qu’il faut faire pour lutter contre le terrorisme...
"Il faut un rejet catégorique de ce qu’on appelle la 'loi du repentir' et de tous ses dérivés" a affirmé l'ancien ministre de la Santé.
Il a mis l’accent sur la nécessité d’adopter une stratégie claire afin d’éviter les scénarios de Soliman ou d’Algérie dans les années 90 en exhortant le gouvernement à définir ses priorités et à mettre fin à la confusion notamment en ce qui concerne le nombre de terroristes se trouvant dans les zones de conflit.
Revenant sur le dossier des terroristes de retour en Tunisie, l’ancien ministre a souligné la nécessité de mettre en place un plan stratégique clair reflétant une réelle volonté nationale pour faire face à ce fléau. “Une vision et un discours clairs s’imposent” a-t-il soutenu.
Il a indiqué que cette stratégie nationale pourrait être menée par une personnalité qui rejoint à la fois des compétences diplomatiques et sécuritaires citant le nom de Kamel Morjane comme exemple. "Il a les compétences nécessaires pour être cette personnalité".
Aïdi a appelé, par ailleurs, à une coopération internationale notamment avec les pays voisins touchés par le terrorisme. “Il faut unifier les rangs” a-t-il ajouté en insistant sur le rôle du pôle judiciaire de lutte contre le terrorisme. “Aucun pays ne peut faire face à ce fléau, tout seul. Il faut une coordination à l’échelle régionale mais aussi internationale” a-t-il renchéri.
Nidaa Tounes aux yeux de Saïd Aïdi
“Nidaa Tounes souffre d’une crise de morale politique,” a estimé Aïdi en indiquant que son parti représente plus un problème qu’une solution pour le pays. Il a indiqué qu’avec ses conflits internes, Nidaa est très loin des préoccupations et des problèmes du citoyen.
Face à un parti qui ne semble pas accorder ses violons, Aïdi estime que Nidaa n’est pas en train de jouer pleinement son rôle. "Il va y avoir des décisions qui vont être prises bientôt" a-t-il dit.
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