Les images du Titanic coulant à pic dans l'océan Atlantique ont fait le tour du monde. Mais depuis la diffusion le 31 décembre 2016 du documentaire "Titanic: The New Evidence" sur la chaîne anglaise Channel4, de nouveaux clichés du bateau apportent un éclairage différent.
Selon le journaliste irlandais Senan Molony, qui travaille depuis des années sur le sujet, le naufrage du paquebot ne serait pas uniquement dû au choc avec l'iceberg. Il affirme en effet qu'un violent incendie dans la chaufferie a fragilisé la coque du navire, dix jours avant son départ du port de Southampton.
"De nouvelles photos découvertes dans un album qui n'avait pas été ouvert depuis 100 ans montrent une distorsion sur la partie droite de la coque qui n'est pas un reflet. La déformation est à la place exacte où l'iceberg a frappé", explique Senan Molony à Mashable. À savoir, sur la photo ci-dessous, la marque plus sombre sur le bas de la coque du navire.
"Des scientifiques m'ont expliqué que le feu a dû brûler pendant plusieurs semaines et atteindre une température d'au moins 1 000 degrés pour créer une telle déformation", poursuit le journaliste. L'acier aurait ainsi été fragilisé, perdant jusqu'à 75% de sa résistance, selon un expert en métallurgie interrogé par Senan Molony.
Cette théorie est loin d'être nouvelle, comme le rappelle le site The Independant. Dès 2008, un autre expert du Titanic estimait que le naufrage du navire était en partie du à cet incendie non-maîtrisé et dissimulé. Des propos qui semblent confirmés par le rapport de l'enquête officielle menée après le naufrage, où plusieurs employés du chantier faisaient état de l'incendie.
Mais lors de l'inspection officielle trois jours avant le départ, le feu a été passé sous silence. Et pour cause: comme l'explique Senan Molony, l'enjeu pour les autorités et la marine marchande était trop important pour annuler ou même retarder le départ de ce qui était alors "le plus grand paquebot du monde. "La Grande-Bretagne n'aurait plus été maîtresse de la mer !", explique le journaliste à Mashable.
Selon le journaliste irlandais Senan Molony, qui travaille depuis des années sur le sujet, le naufrage du paquebot ne serait pas uniquement dû au choc avec l'iceberg. Il affirme en effet qu'un violent incendie dans la chaufferie a fragilisé la coque du navire, dix jours avant son départ du port de Southampton.
"De nouvelles photos découvertes dans un album qui n'avait pas été ouvert depuis 100 ans montrent une distorsion sur la partie droite de la coque qui n'est pas un reflet. La déformation est à la place exacte où l'iceberg a frappé", explique Senan Molony à Mashable. À savoir, sur la photo ci-dessous, la marque plus sombre sur le bas de la coque du navire.
Did a coal fire sink the Titanic?: Author Senan Molony believes pictures hidden in a forgotten… https://t.co/GQCxIADLin #BCSIN #BajaSur pic.twitter.com/vbcM2mGKmx
— La Paz BCS Mexico (@La_Paz_BCS) 3 janvier 2017
"Des scientifiques m'ont expliqué que le feu a dû brûler pendant plusieurs semaines et atteindre une température d'au moins 1 000 degrés pour créer une telle déformation", poursuit le journaliste. L'acier aurait ainsi été fragilisé, perdant jusqu'à 75% de sa résistance, selon un expert en métallurgie interrogé par Senan Molony.
Cette théorie est loin d'être nouvelle, comme le rappelle le site The Independant. Dès 2008, un autre expert du Titanic estimait que le naufrage du navire était en partie du à cet incendie non-maîtrisé et dissimulé. Des propos qui semblent confirmés par le rapport de l'enquête officielle menée après le naufrage, où plusieurs employés du chantier faisaient état de l'incendie.
Mais lors de l'inspection officielle trois jours avant le départ, le feu a été passé sous silence. Et pour cause: comme l'explique Senan Molony, l'enjeu pour les autorités et la marine marchande était trop important pour annuler ou même retarder le départ de ce qui était alors "le plus grand paquebot du monde. "La Grande-Bretagne n'aurait plus été maîtresse de la mer !", explique le journaliste à Mashable.
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